Cafés et restaurants presque tous fermés, absence totale des «hlaykia» (animateurs de rue), des «nakkachate» (tatoueuses au henné) qui se débrouillent comme elles peuvent… Et de l’espoir, malgré tout. Reportage
Mounia Kabiri Kettani
Habituellement animée et bondée de monde, Jamaa El Fna attend le retour de touristes nationaux et étrangers dans un silence de cimetière. Les professionnels qui vivent de cette place mythique déplorent un état de « mort clinique » qui a frappé de plein fouet le cœur battant de Marrakech.
Touchés de plein fouet par cette crise, un cireur de chaussures, une «nakkacha» et des vendeurs de produits d’artisanats racontent leur vécu… Leurs témoignages sont poignants et leur force de résilience est impressionnante. Dans leur souffrance, ils affirment tous que demain sera meilleur !
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