Le film « Redemption Day » de Hicham Hajji qui a irrité l’Algérie projeté à New York
Le thriller d’action « Redemption Day », écrit, produit et réalisé par le cinéaste marocain Hicham Hajji, sera à l’affiche de la 12ème édition du NYC Independent Film Festival. Sa projection est prévue pour le 8 juin prochain au Producers Club, à New York.
Après avoir reçu le premier prix dans la catégorie « Meilleur film » au Manhattanhenge Film Festival de New York en Août dernier, le film « Redemption day » de Hicham Hajji continue de séduire à l’international. « Il est l’un des premiers marocains/arabes à écrire, produire et réaliser un long-métrage hollywoodien », affirme Dennis Cieri, fondateur du NYC Independant Film Festival, dans une déclaration accordée à Ein Press Wire.
Sorti en janvier dernier en plein pandémie, le long métrage disponible sur plusieurs plateformes de streaming, raconte l’histoire de Kate Paxton, - interprétée par l’actrice canadienne Serinda Swan -, une célèbre archéologue américaine qui se rend au Maroc après la découverte des plus vieux ossements humains, datant de 300.000 ans, dans la région de Youssoufia, faisant de Jebel Ighoud le nouveau berceau de l’humanité. Son travail de recherche la conduit vers la frontière algérienne, où elle se fait kidnapper par un groupe terroriste dirigé par Jaafar El Hadi interprété par le franco-algérien Samy Naceri. Son mari, Brad Paxton -incarné par Gary Dourdan-, un Marine qui a décroché de nombreuses décorations pour ses faits d’armes sur le champ de bataille, va tout faire pour tenter de la sauver dans une mission délicate et périlleuse, avec l’aide d’un agent marocain spécialisé dans la lutte antiterroriste, campé par le talentueux Brice Bexter El Glaoui et celle de l’ambassadeur des Etats-Unis au Maroc, joué par l’acteur américano-cubain Andy Garcia.
Tournée entre les USA et le Maroc (Merzouga, Marrakech, Rabat et Casablanca), cette superproduction marocaine met aussi en scène d’autres célébrités comme Robert Knepper « Prison Break » et « Hunger Games », Martin Donovan « Ant Man » ou Ernie Hudson « Ghostbusters ».
La bande annonce de « Redemption day » dont les faits se déroulent entre le Maroc et l’Algérie avait suscité il y a quelques mois la colère des médias et internautes algériens, même avant sa sortie. Le site Algérie patriotique avait accusé le film de « ternir l’image de l’Algérie dans le monde » car selon lui, « l’objectif du film est de montrer que l’Algérie est un pays où il n’est question que de violence et de terrorisme ».
Sorti en janvier dernier en plein pandémie, le long métrage disponible sur plusieurs plateformes de streaming, raconte l’histoire de Kate Paxton, - interprétée par l’actrice canadienne Serinda Swan -, une célèbre archéologue américaine qui se rend au Maroc après la découverte des plus vieux ossements humains, datant de 300.000 ans, dans la région de Youssoufia, faisant de Jebel Ighoud le nouveau berceau de l’humanité. Son travail de recherche la conduit vers la frontière algérienne, où elle se fait kidnapper par un groupe terroriste dirigé par Jaafar El Hadi interprété par le franco-algérien Samy Naceri. Son mari, Brad Paxton -incarné par Gary Dourdan-, un Marine qui a décroché de nombreuses décorations pour ses faits d’armes sur le champ de bataille, va tout faire pour tenter de la sauver dans une mission délicate et périlleuse, avec l’aide d’un agent marocain spécialisé dans la lutte antiterroriste, campé par le talentueux Brice Bexter El Glaoui et celle de l’ambassadeur des Etats-Unis au Maroc, joué par l’acteur américano-cubain Andy Garcia.
Tournée entre les USA et le Maroc (Merzouga, Marrakech, Rabat et Casablanca), cette superproduction marocaine met aussi en scène d’autres célébrités comme Robert Knepper « Prison Break » et « Hunger Games », Martin Donovan « Ant Man » ou Ernie Hudson « Ghostbusters ».
La bande annonce de « Redemption day » dont les faits se déroulent entre le Maroc et l’Algérie avait suscité il y a quelques mois la colère des médias et internautes algériens, même avant sa sortie. Le site Algérie patriotique avait accusé le film de « ternir l’image de l’Algérie dans le monde » car selon lui, « l’objectif du film est de montrer que l’Algérie est un pays où il n’est question que de violence et de terrorisme ».