Confession dominicales. Tebboune en pseudo YouTuber, retour de manivelle pour l’Espagne…

Dans ses confessions de ce dimanche, Abou Wael Al-Rifi commente les divagations de Tebboune et le coup d’épée dans l’eau de l’Espagne. Il attire aussi l’attention sur le silence coupable des Adlistes…

Le président algérien a multiplié, d’une manière inhabituelle, ses sorties médiatiques, constate Abu Wael Al-Rifi. Ce dernier fait remarquer que Tebboune a tenté maladroitement de s’ériger en pseudo YouTuber sauf que certaines de ses déclarations sont indignes d’un président. En tout cas, conclut, l’auteur des confessions dominicales, les divagations présidentielles ne trompent pas les Algériens qui lui ont demandé de se taire par ce slogan on ne peut plus direct «Bella3 foummek» (Ferme ta gueule !». Ils lui ont rappelé aussi, après chacune de ses sorties, son illégitimité et ont réclamé son départ ainsi que celui de ce qu’ils qualifient toute «la bande», relève Abou Wael.

Abdelmajid Tebboune voulait aussi faire diversion en multipliant les provocations verbales gratuites contre le Maroc, note l’analyste. Là aussi, ajoute-t-il, en l’ignorant, le Royaume lui a signifié l’insignifiance qu’il représente, ainsi que ses donneurs d’ordre galonnés, aux yeux des Marocains.

Après toutes leurs manigances, poursuit l’auteur des confessions dominicales, Tebboune et sa bande, et avec eux les parties espagnols hostiles au Maroc, constatent que le Royaume reste imperturbable. Par la voix de son Souverain, le pays a toujours montré qu’il tient à transformer son espace régional en zone de paix et de prospérité partagée sur la base de relations bilatérales saines.

En observant les gesticulations de Tebboune, Abu Wael montre comment cet indésirable président souffre du complexe que constituent pour lui le Roi Mohammed VI et son Royaume. Il n’y a pas de comparaison pouvant être faite entre une Algérie économiquement et politiquement bloquée et un Maroc qui multiplie les avancées en n’hésitant pas à se défendre, en ayant toujours la tête haute, contre tout pays qui essaie de le prendre de haut. L’Espagne en sait quelque chose, fait remarquer l’analyste.

Par ailleurs, Abu Wael s'étonne du silence des Adlistes à chaque fois que les intérêts suprêmes du pays sont touchés. Il a remarqué qu'au moment du différend hispano-marocain, ces islamistes n’ont pas pipé mot ni bougé le petit doigt, en restant sur leur haine atavique qu’ils nourrissent contre les institutions. En tout cas, poursuit-t-il, le Maroc a bien montré sa capacité, quelles que puissent être les réactions des uns et des autres, à se défendre contre des pays hautains, comme l’Espagne.

L’analyste souligne qu’au grand dam des ennemis du Maroc, son voisin ibérique cherche maintenant à renouer le dialogue avec les autorités marocaines après avoir échoué à mobiliser le parlement européen.