Anas Basbousi. « Le Hip Hop m’a aidé à m’émanciper et à briser beaucoup de limites »
Le rappeur Anas Basbousi nous parle de son rôle de professeur de Hip Hop dans le nouveau film « Haut et fort » de Nabil Ayouch sorti en salles le 3 novembre 2021.
Pour son premier rôle au cinéma, Anas Basbousi incarne dans le dernier long métrage de Nabil Ayouch un personnage qui lui ressemble. Et le moins que l’on puisse dire c’est qu’il réussit à repousser avec brio les limites de la performance.
Baignant dans son élément, le rappeur, connu sous son nom de Bawss, crève l’écran et excelle en tant que professeur de Hip Hop dans un centre culturel du quartier populaire de Sidi Moumen à Casablanca. Lui qui a fondé un programme de formation hip-hop au Maroc en 2016, Positive School of Hip Hop se retrouve à incarner son propre rôle à l’écran, et se voit transmettre aux jeunes les vraies valeurs du Hip Hop pour les aider à se libérer du poids de certaines traditions pour vivre leur passion et s’exprimer à travers cet art musical....
« Ce rôle vient représenter une grande partie de notre vérité et du travail d’apprentissage de la culture Hip Hop « La Positive School » que je fais au centre culturel de Sidi Moumen que j’ai mis en place avec la fondation Ali Zaoua depuis 2016, nous confie Anas Basbousi.
« J’ai accepté de jouer dans ce film parce qu’il vient montrer toutes les valeurs derrière la culture Hip Hop et les valeurs que je tenais à transmettre à ces jeunes issus de quartier défavorisé », conclut-il.
Baignant dans son élément, le rappeur, connu sous son nom de Bawss, crève l’écran et excelle en tant que professeur de Hip Hop dans un centre culturel du quartier populaire de Sidi Moumen à Casablanca. Lui qui a fondé un programme de formation hip-hop au Maroc en 2016, Positive School of Hip Hop se retrouve à incarner son propre rôle à l’écran, et se voit transmettre aux jeunes les vraies valeurs du Hip Hop pour les aider à se libérer du poids de certaines traditions pour vivre leur passion et s’exprimer à travers cet art musical....
« Ce rôle vient représenter une grande partie de notre vérité et du travail d’apprentissage de la culture Hip Hop « La Positive School » que je fais au centre culturel de Sidi Moumen que j’ai mis en place avec la fondation Ali Zaoua depuis 2016, nous confie Anas Basbousi.
« J’ai accepté de jouer dans ce film parce qu’il vient montrer toutes les valeurs derrière la culture Hip Hop et les valeurs que je tenais à transmettre à ces jeunes issus de quartier défavorisé », conclut-il.