Ces personnalités et célébrités ont foulé aux pieds des règles anti-Covid
Célèbres violeurs des règles anti-Covid

De hautes personnalités politiques ont violé des règles anti-Covid qu'elles avaient elles-mêmes fixées. Elles l'ont amèrement regretté. Ce n'est pas le cas de certaines célébrités.



Novak Djokovic joue son dernier set judiciaire en Australie. Il risque de voir son visa d’entrée dans ce pays définitivement annulé. Le verdict tombera demain dimanche 16 janvier. En attendant le joueur de tennis serbe reste bloqué par les autorités australiennes.
Entre temps, Djokovic, que l'on surnomme désormais "Novaks", a reconnu une erreur de jugement au quotidien L'Equipe alors qu'il se savait positif. Cet aveu est loin d'être un mea culpa, mais serait-il suffisant pour sortir le numéro 1 mondial de la balle jaune du bourbier australien ? On le saura demain.

Mise à jour : Novak Djokovic perd son dernier set judiciaire en Australie

Boris Johnson a, lui aussi, provoqué un tollé à cause de sa violation des règles sanitaires dont il est, en principe, le premier ordonnateur. Le 1er ministre britannique s’était déplacé chez ses parents en plein confinement. Il a admis avoir assisté en mai 2020 à une garden-party à Downing Street. Les britanniques ne le lui pardonnent pas et réclament sa démission. Surtout que le même responsable semble avoir multiplié les sorties.
BoJo pourrait faire l’objet d’une enquête policière.

Toujours en Grande-Bretagne, en juin 2020, un comportement similaire a coûté son poste au ministre britannique de la Santé. Matt Hancock a provoqué un scandale quand des images de son baiser donné à une conseillère, au mépris des restrictions sanitaires, ont défrayé la chronique.
Autre homme politique ayant manqué aux règles sanitaire : Alberto Fernandez. Pour fêter l'anniversaire de son épouse, le Président argentin a organisé une fête en juillet 2020. Un acte qui a provoqué une vague de mécontentement en Argentine, sans grandes conséquences.

A l’autre bout du monde, en Afrique du Sud, le Président de ce pays a été bien ébranlé suite à un selfie pris avec deux femmes en mai 2020. En brisant ainsi les règles de distanciation sociale auxquelles il ne cesse d’appeler, Cyril Ramaphosa a encore perdu en crédibilité. Surtout qu’il est soupçonné de corruption.
Ce n’est pas un selfie, mais carrément un dîner qui a provoqué une tempête en Pologne qui a failli emporter le Premier ministre de ce pays d’Europe centrale. Mateusz Morawiecki a dû se confondre en excuses après le repas au goût amer qu’il avait pris avec son équipe en mai 2020. Le haut responsable était dans ses petits souliers en s’excusant. Surtout qu’il avait conseillé les Polonais de ne partager des repas qu’en famille.