La Jeunesse : l’aile marchante de la démocratie
Le verdict des présidentielles françaises est tombé. Emmanuel Macron est réélu, mais le camp de l’extrême-droite avance. Marine le Pen fait 8 points de mieux qu’en 2017 et est classée première dans 3 régions. Le Président élu sait que le pays est divisé en trois pôles : le sien, celui de l’extrême gauche, et celui de l’extrême droite. Les partis traditionnels disparaissent du devant de la scène. La première mission du Président Macron sera de réunifier le pays, et pour cela la jeunesse et sa mobilisation sont un enjeu crucial.
Déjà, la campagne électorale était à l’adresse des jeunes, en portant les thématiques qui leur sont chères. L’égalité des chances, l’accompagnement pour l’entrée dans la vie active, mais aussi la promotion de l’accès à la culture et surtout l’environnement ont structuré les programmes des candidats. Ceux-ci ont tous mis en avant des jeunes dans leurs équipes, en leur assurant une visibilité maximale. Bardella, Président par intérim du Rassemblement National, n'a que 32 ans, et il est là depuis une décennie, Gabriel Attal et son équipe sont des trentenaires, Mélenchon a confié sa communication à des jeunes. L’appel à la jeunesse ne se limite pas aux discours, mais passe aussi par l’ouverture réelle des appareils à ces nouveaux talents plus en adéquation avec la masse des jeunes. Le taux de participation à nos dernières élections a péniblement atteint les 50%. Énormément de jeunes ne sont même pas inscrits. Il fut un temps où la jeunesse partisane était constituée de véritables forces organisées. Ce n’est plus qu’un souvenir nostalgique. En vérité, les jeunes ont déserté la politique.
Une démocratie en construction se doit d’emporter l’adhésion de la jeunesse. Cela passe aussi par l’ouverture des appareils et des pratiques électorales plus saines. La jeunesse apporte son énergie mais aussi les thématiques de l’avenir. En cela, elle régénère les partis et leur permet de rester à l’écoute de la société. Ils ne sont pas uniquement une réserve de voix. Il faut le comprendre et agir en conséquence.
Déjà, la campagne électorale était à l’adresse des jeunes, en portant les thématiques qui leur sont chères. L’égalité des chances, l’accompagnement pour l’entrée dans la vie active, mais aussi la promotion de l’accès à la culture et surtout l’environnement ont structuré les programmes des candidats. Ceux-ci ont tous mis en avant des jeunes dans leurs équipes, en leur assurant une visibilité maximale. Bardella, Président par intérim du Rassemblement National, n'a que 32 ans, et il est là depuis une décennie, Gabriel Attal et son équipe sont des trentenaires, Mélenchon a confié sa communication à des jeunes. L’appel à la jeunesse ne se limite pas aux discours, mais passe aussi par l’ouverture réelle des appareils à ces nouveaux talents plus en adéquation avec la masse des jeunes. Le taux de participation à nos dernières élections a péniblement atteint les 50%. Énormément de jeunes ne sont même pas inscrits. Il fut un temps où la jeunesse partisane était constituée de véritables forces organisées. Ce n’est plus qu’un souvenir nostalgique. En vérité, les jeunes ont déserté la politique.
Une démocratie en construction se doit d’emporter l’adhésion de la jeunesse. Cela passe aussi par l’ouverture des appareils et des pratiques électorales plus saines. La jeunesse apporte son énergie mais aussi les thématiques de l’avenir. En cela, elle régénère les partis et leur permet de rester à l’écoute de la société. Ils ne sont pas uniquement une réserve de voix. Il faut le comprendre et agir en conséquence.