Cinéma : Rabat accueille la semaine du film sur les droits des femmes
La semaine du film sur les droits des femmes aura lieu du 25 au 29 novembre 2022 au cinéma Renaissance à Rabat.

Organisée par L’ONU Femmes en partenariat avec Le Ministère de la Jeunesse, de la Culture, et de la Communication du 25 au 29 novembre 2022 au cinéma Renaissance de Rabat, la semaine du film sur les droits des femmes porte sur la thématique de lutte contre les violences et discriminations basées sur le genre et en faveur des droits des femmes et des filles.

Organisée avec le soutien de la Cinémathèque Marocaine et avec l’appui de l’Ambassade du Canada, l’Ambassade de Suisse et l’Ambassade d’Australie, l'ARMCDH et la Fondation Hiba, la Semaine du Film sur les Droits des Femmes qui se concentre cette années sur la lutte contre les violences et discriminations basées sur le genre et en faveur des droits des femmes et des filles.

Cette semaine s’inscrit dans les activités de la campagne mondiale des « 16 jours d’activisme contre la violence basée sur le genre » qui a lieu chaque année du 25 novembre au 10 décembre.

Le programme de cette semaine, organisée avec l’appui des ambassades du Canada, de Suisse et d’Australie, la fondation Hiba et l’association des rencontres méditerranéennes du cinéma et des droits de l’homme (ARMCDH), comporte un ensemble d’œuvres cinématographiques, de films et de documentaires produits à travers le monde, abordant les discriminations fondées sur le genre et les luttes des femmes pour l’égalité.

Ces œuvres se distinguent par « leur traitement des diverses problématiques d’inégalités femmes-hommes notamment le combat des femmes pour leur droit de vote ou l’égalité salariale, et ce avec tact et bravoure », indique le communiqué des organisateurs.

Ces films sont: « Les yeux secs » de Narjiss Nejjar (2003), « L’ordre divin » de Petra Biondina Volpe (2017), « Between two seas » de Anas Tolba (2019, « Kuessipan » de Myriam Verreault (2019), « Brazen Hussies » de Catherine Dwyer (2020) et « Mazal Tefla » de Meryem Aït Aghnia (2022).

Une session de débat et de discussion est prévue à la fin de chaque projection avec des interventions de militantes pour les droits humains des femmes, des équipes de production cinématographique ou des actrices, ajoute la source, concluant que les séances seront gratuites et ouvertes au public.