La DIDH recadre Amnesty international
Ahmed Chaouki Benyoub, Délégué Interministériel aux Droits de l’Homme (DIDH)

La Délégation Interministérielle aux Droits de l'Homme (DIDH) déconstruit le dernier rapport d’Amnesty International sur les incidents de Sebta et Melilla du 24 juin dernier pour bien montrer la partialité qui le caractérise.

Pour la DIDH, le rapport d’Amnesty International est, encore une fois, partial puisque ne se basant que sur des sources à sens unique. Cette unilatéralité vide ce document de toute crédibilité, souligne cette Direction. Laquelle relève aussi l’absence de preuves et donc d’objectivité, "contrairement aux usages préconisés dans le travail sur les questions des droits de l’Homme".

La DIDH s’étonne de voir Amnesty International baser ses allégations sur les assertions de trois associations connues, pour l’une, pour ses positions politiques radicales et pour l’autre pour son inimitié à l’encontre de l’intégrité territoriale du Royaume et la troisième manque de crédibilité puisque son témoignage ne résulte d’aucune enquête de terrain. En basant sur de telles sources, Amnesty International manque de professionnalisme, note la DIDH.

La même source déconstruit en 7 points le rapport de l’ONG internationale.