Vidéo - Crédit du Maroc. Des résultats annuels solides
Crédit du Maroc vient de dévoiler ses résultats annuels au titre de 2022. En dépit d’un contexte régional et international difficile, le groupe bancaire a clôturé l’année avec de bonnes performances financières, comme l’explique le président de son Directoire, Ali Benkirane.
Au cours de l’année 2022, Crédit du Maroc a enregistré un produit net bancaire en hausse de 4,4% à 2.568,7 MDH porté par la bonne performance de l’ensemble des lignes métiers. Les filiales de la banque ont affiché pour leur part, un PNB global de 167,9 MDH, en baisse de 10,9 % par rapport à l’exercice 2021.
De con côté, le résultat net part du groupe ressort en baisse de 6,7 % à 482,2 MDH. Le résultat brut d’exploitation pour sa part, s’est replié de 5% à 1 068,6 MDH en raison de charges exceptionnelles. Hors éléments non récurrents liés à l’autonomisation de la banque suite au changement de l’actionnaire principal, le résultat brut d’exploitation ressort, en 2022, en hausse de 3,7 % à 1 166,3 MDH. En termes d’investissement, Crédit du Maroc a engagé sur l’année 2022 un montant total de 353,1 MDH lié essentiellement aux investissements informatiques et au projet du futur siège social.
Dans le détail, la banque souligne que les crédits aux particuliers se sont appréciés de 1,8 % à 19.623 MDH en lien avec la bonne tenue des crédits à l’habitat qui ont évolué de 2,7 %. Les crédits à la consommation ont accusé une baisse de 2,1 %. Sur le marché des entreprises, les crédits à court terme et les crédits à l’équipement affichent des croissances respectives de 17 % et 19,9 %. Pour sa part, le crédit-bail a reculé de 3,8 %. Parallèlement, on note une augmentation des ressources bilan de 5,1 % à 48 582 MDH, suite à la hausses de 2,9 % à 34 129 MDH des ressources à vue et de 70,6 % à 2 990 MDH des dépôts à terme
La marge nette d’intérêt s’élève de son côté, à 1 996,4 MDH, en croissance annuelle de 2,1 %, celle sur commissions a atteint 403,2 MDH, en hausse de 2,5 % grâce à la progression du taux d’équipement produit et à la bonne tenue des activités de commerce international et de cash-management. Le résultat des opérations de marché a évolué, quant à lui, de 26,2 % à 263,8 MDH. Cette performance est portée par l’orientation positive de l’activité de change qui compense la conjoncture défavorable de l’activité obligataire. Par ailleurs, le coût du risque consolidé est estimé, en 2022, à 309,9 MDH avec un taux de coût du risque qui s’élève à 0,6 %. Aussi, le taux de couverture des créances en souffrance est de 84,9 % à fin 2022, reflétant une politique prudente en matière de provisionnement. L’endettement de Crédit du Maroc s’établit à 1 509,3 MDH, en hausse de 1,1 % par rapport à l’exercice 2021
Faits marquants
L’année 2022 a été marquée par l’ouverture, le 6 décembre, d’un nouveau chapitre dans l’histoire de Crédit du Maroc à travers la concrétisation de l’acquisition par le Groupe Holmarcom de la participation majoritaire de Crédit Agricole S.A. dans le capital de la banque. Par ailleurs, le projet d’entreprise Tajdid 2022 a atteint ses principaux objectifs, posant ainsi les bases d’une transformation en profondeur. L’autonomisation des clients a également été accélérée avec l’enrichissement des solutions ebanking et le déploiement du libre-service bancaire dans les agences. En outre, la banque a renforcé son accompagnement des entreprises, en augmentant significativement les crédits octroyés notamment pour l’investissement.
De con côté, le résultat net part du groupe ressort en baisse de 6,7 % à 482,2 MDH. Le résultat brut d’exploitation pour sa part, s’est replié de 5% à 1 068,6 MDH en raison de charges exceptionnelles. Hors éléments non récurrents liés à l’autonomisation de la banque suite au changement de l’actionnaire principal, le résultat brut d’exploitation ressort, en 2022, en hausse de 3,7 % à 1 166,3 MDH. En termes d’investissement, Crédit du Maroc a engagé sur l’année 2022 un montant total de 353,1 MDH lié essentiellement aux investissements informatiques et au projet du futur siège social.
Dans le détail, la banque souligne que les crédits aux particuliers se sont appréciés de 1,8 % à 19.623 MDH en lien avec la bonne tenue des crédits à l’habitat qui ont évolué de 2,7 %. Les crédits à la consommation ont accusé une baisse de 2,1 %. Sur le marché des entreprises, les crédits à court terme et les crédits à l’équipement affichent des croissances respectives de 17 % et 19,9 %. Pour sa part, le crédit-bail a reculé de 3,8 %. Parallèlement, on note une augmentation des ressources bilan de 5,1 % à 48 582 MDH, suite à la hausses de 2,9 % à 34 129 MDH des ressources à vue et de 70,6 % à 2 990 MDH des dépôts à terme
La marge nette d’intérêt s’élève de son côté, à 1 996,4 MDH, en croissance annuelle de 2,1 %, celle sur commissions a atteint 403,2 MDH, en hausse de 2,5 % grâce à la progression du taux d’équipement produit et à la bonne tenue des activités de commerce international et de cash-management. Le résultat des opérations de marché a évolué, quant à lui, de 26,2 % à 263,8 MDH. Cette performance est portée par l’orientation positive de l’activité de change qui compense la conjoncture défavorable de l’activité obligataire. Par ailleurs, le coût du risque consolidé est estimé, en 2022, à 309,9 MDH avec un taux de coût du risque qui s’élève à 0,6 %. Aussi, le taux de couverture des créances en souffrance est de 84,9 % à fin 2022, reflétant une politique prudente en matière de provisionnement. L’endettement de Crédit du Maroc s’établit à 1 509,3 MDH, en hausse de 1,1 % par rapport à l’exercice 2021
Faits marquants
L’année 2022 a été marquée par l’ouverture, le 6 décembre, d’un nouveau chapitre dans l’histoire de Crédit du Maroc à travers la concrétisation de l’acquisition par le Groupe Holmarcom de la participation majoritaire de Crédit Agricole S.A. dans le capital de la banque. Par ailleurs, le projet d’entreprise Tajdid 2022 a atteint ses principaux objectifs, posant ainsi les bases d’une transformation en profondeur. L’autonomisation des clients a également été accélérée avec l’enrichissement des solutions ebanking et le déploiement du libre-service bancaire dans les agences. En outre, la banque a renforcé son accompagnement des entreprises, en augmentant significativement les crédits octroyés notamment pour l’investissement.