Législatives en Guinée Bissau. 21 jours pour convaincre
La campagne pour les élections législatives en Guinée-Bissau a démarré samedi sur l'ensemble du territoire national pour une durée de 21 jours. Vingt formations politiques et deux coalitions sont en lice pour le scrutin qui aura lieu le 4 juin prochain.
Le parti au pouvoir, le Mouvement pour l'alternance démocratique (MADEM G-15) a entamé sa campagne électorale dans la région de Bafata (est), située à 200 km de la capitale, Bissau.
En ce qui concerne l'opposition, l'Assemblée du peuple uni (APU-PDGB) a débuté sa campagne électorale par la région de Bissora (nord).
La coalition dirigée par le Parti africain pour l'indépendance de la Guinée et du Cap-Vert (PAIGC) dénommée "PAI Terra Ranca" va démarrer sa campagne lundi, en raison de l'absence de son leader, Domingos Simoes Pereira.
Ces élections législatives seront marquées par la participation de nouveaux partis dans l'arène politique bissau-guinéenne, comme le Parti da Luz da Guinée-Bissau (PLGB), le Parti des Travailleurs de Guinée-Bissau (PTG) et le Parti africain pour la stabilité (PAPES), ont fait remarquer des observateurs locaux.
Prévues pour renouveler les 102 sièges de l'Assemblée nationale, les élections législatives anticipées ont été décidées à la suite de la dissolution du Parlement en décembre 2019. Depuis lors, elles ont été reportées à plusieurs reprises avant d'être fixées au 4 juin 2023.
En ce qui concerne l'opposition, l'Assemblée du peuple uni (APU-PDGB) a débuté sa campagne électorale par la région de Bissora (nord).
La coalition dirigée par le Parti africain pour l'indépendance de la Guinée et du Cap-Vert (PAIGC) dénommée "PAI Terra Ranca" va démarrer sa campagne lundi, en raison de l'absence de son leader, Domingos Simoes Pereira.
Ces élections législatives seront marquées par la participation de nouveaux partis dans l'arène politique bissau-guinéenne, comme le Parti da Luz da Guinée-Bissau (PLGB), le Parti des Travailleurs de Guinée-Bissau (PTG) et le Parti africain pour la stabilité (PAPES), ont fait remarquer des observateurs locaux.
Prévues pour renouveler les 102 sièges de l'Assemblée nationale, les élections législatives anticipées ont été décidées à la suite de la dissolution du Parlement en décembre 2019. Depuis lors, elles ont été reportées à plusieurs reprises avant d'être fixées au 4 juin 2023.