Vidéo - Espagne-Maroc-Reste de l’Afrique. Des clés pour réussir ensemble le challenge du co-développement
Panel «Horizon africain : Réussir ensemble le challenge du co-développement»

«Si nous n'investissons pas maintenant en Afrique, nous allons rater le train», a averti les entrepreneurs espagnols Rosa Cañadas. La présidente de la Fondation Tanja a participé au panel qui était axé sur la coopération maroco-espagnole vue sous l’angle du co-développement, aux côtés de l’ambassadeur, directeur Général de l’Agence Marocaine de Coopération Internationale (AMCI), Mohamed Methqal et de Brahim Benjelloun-Touimi, Administrateur Directeur Général Délégué de Bank of Africa ainsi que de son compatriote Alberto Almansa, Directeur de Développement international de Planeta Formation et Universités.

Avec une population de plus de 1 milliard d'habitants - dont la moitié aura moins de 25 ans d'ici 2050 - est un continent diversifié qui dispose de vastes ressources humaines et naturelles. C'est également la plus grande zone de libre-échange au monde, avec un marché de plus de 1,2 milliard de personnes et un PIB de 2,5 milliards de dollars. Il est urgent pour l’Espagne de prendre position pour devenir un partenaire actif du continent en s’appuyant sur le Maroc. C’est est l’un des principaux messages lancés au Forum Économique Espagne-Maroc, co-organisé mardi 27 juin à Madrid par Global media Holding et le groupe La Razón.

Participants au panel «Horizon africain : Réussir ensemble le challenge du codéveloppement»,  l’ambassadeur, directeur Général de l’Agence Marocaine de Coopération Internationale (AMCI), Mohamed Methqa ; Brahim Benjellouni-Touimi, Administrateur Directeur Général Délégué de Bank of Africa ainsi que la présidente de la Fondation Tanja, Rosa Cañada et Alberto Almansa, Directeur de Développement international de Planeta Formation et Universités ont été unanimes, chacun sur la base de son vécu et de son expérience professionnels, à indiquer que le Maroc est la meilleure plateforme d"entrée pour les entreprises epsagnoles afin qu’elles puissent étendre leurs activités en Afrique. 

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