«Les deux derniers pays qui n’avaient pas signé l’accord en tant que créanciers officiels, à savoir la Chine et l’Inde, l’ont fait», a déclaré Hichilema.

En juin 2023, une restructuration partielle de 6,3 milliards de dollars a été décidée dans le cadre commun des 20 grandes économies et le Club de Paris. Un accord qui a eu du mal a été mis en œuvre en raison notamment, des objections de certains créanciers officiels. Selon eux, l’accord ne répondait pas au principe de «comparabilité du traitement».

Hichilema a également souligné que le gouvernement zambien déployait ses efforts pour régler cette «montagne de la dette», notant que l’attention est portée désormais sur les négociations avec les créanciers privés.

La Zambie a besoin de régler son problème d’endettement pour pouvoir relancer la reprise économique en attirant les investissements étrangers, notamment dans le secteur minier.

La dette totale de la Zambie est évaluée à 32,8 milliards de dollars, selon des chiffres du ministère des Finances.