Insistant sur l’importance de la dignité humaine, José Luis Rodriguez Zapatero espère que d’ici à 2030, le monde connaitra la paix en dépit des conflits qui traversent les continents : la guerre entre la Russie et l’Ukraine, les conflits constatés en Afrique et la guerre israélo-palestinienne.

Zapatero a souligné que la paix est un droit universel et que toute violence ou guerre compromet ce droit essentiel. Il a rappelé que la pandémie mondiale nous a tous affectés, mettant en lumière la nécessité d’une coopération internationale face aux crises.

Pour ce qui est des enjeux sociétaux, l’ancien président espagnol a appelé à dépasser les rivalités, affirmant que la construction d’une communauté politique internationale est cruciale à l’ère technologique actuelle. Il a salué les avancées scientifiques mondiales, soulignant l’importance de les utiliser pour promouvoir la paix.

Il a aussi encouragé la valorisation de la diversité culturelle, la défense des droits de l’homme, et a prôné un engagement pour un monde plus juste et égalitaire.

Zapatero a souligné par la même occasion l’importance de respecter les droits du peuple palestinien, condamnant toute violence et guerre qui compromettent la dignité humaine. Il a appelé à dépasser les nationalismes et à favoriser la collaboration entre nations pour construire un avenir plus pacifique et juste. Ses mots ont servi d’appel à l’action collective et à la solidarité pour surmonter les défis mondiaux et bâtir un monde meilleur pour tous.

De son côté, Driss El Yazami, président du Conseil de la communauté marocaine à l’étranger (CCME), a indiqué le thème retenu pour ce forum des droits humains, «Maroc, Espagne, Portugal : une histoire qui a de l’avenir», retrace l’histoire des trois pays, à savoir le Maroc, le Portugal et l’Espagne en prélude de la coupe du monde 2030. Il a ajouté que ces pays ont longtemps coopéré dans les bons moments ou en période de crise.

Pour lui, il est temps d’accompagner l’effort énorme concédé par les fédérations sportives, par les gouvernements, ou encore par les membres de la société civile, pour le rapprochement des trois peuples.

Insistant sur l’importance de la dignité humaine, José Luis Rodriguez Zapatero espère que d’ici à 2030, le monde connaitra la paix en dépit des conflits qui traversent les continents : la guerre entre la Russie et l’Ukraine, les conflits constatés en Afrique et la guerre israélo-palestinienne.

Zapatero a souligné que la paix est un droit universel et que toute violence ou guerre compromet ce droit essentiel. Il a rappelé que la pandémie mondiale nous a tous affectés, mettant en lumière la nécessité d’une coopération internationale face aux crises.

Pour ce qui est des enjeux sociétaux, l’ancien président espagnol a appelé à dépasser les rivalités, affirmant que la construction d’une communauté politique internationale est cruciale à l’ère technologique actuelle. Il a salué les avancées scientifiques mondiales, soulignant l’importance de les utiliser pour promouvoir la paix.

Il a aussi encouragé la valorisation de la diversité culturelle, la défense des droits de l’homme, et a prôné un engagement pour un monde plus juste et égalitaire.

Zapatero a souligné par la même occasion l’importance de respecter les droits du peuple palestinien, condamnant toute violence et guerre qui compromettent la dignité humaine. Il a appelé à dépasser les nationalismes et à favoriser la collaboration entre nations pour construire un avenir plus pacifique et juste. Ses mots ont servi d’appel à l’action collective et à la solidarité pour surmonter les défis mondiaux et bâtir un monde meilleur pour tous.

De son côté, Driss El Yazami, président du Conseil de la communauté marocaine à l’étranger (CCME), a indiqué le thème retenu pour ce forum des droits humains, «Maroc, Espagne, Portugal : une histoire qui a de l’avenir», retrace l’histoire des trois pays, à savoir le Maroc, le Portugal et l’Espagne en prélude de la coupe du monde 2030. Il a ajouté que ces pays ont longtemps coopéré dans les bons moments ou en période de crise.

Pour lui, il est temps d’accompagner l’effort énorme concédé par les fédérations sportives, par les gouvernements, ou encore par les membres de la société civile, pour le rapprochement des trois peuples.