Attentat contre Trump. Le monde condamne la violence
Attentat contre Donald Trump. Condamnation mondiale (Photo AFP)

De nombreux dirigeants mondiaux ont exprimé dimanche leur indignation après la tentative d'assassinat de l'ex-président américain Donald Trump, visé par des tirs et blessé lors d'un meeting en Pennsylvanie samedi.

Suite à l’attentat contre l’ex-président US Donald Trump, le président argentin Javier Milei a blâmé la gauche internationale et son « idéologie néfaste ». 

"Craignant de perdre les élections, ils recourent au terrorisme pour imposer leur programme rétrograde et autoritaire ».

Pour sa part, le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva a appelé les défenseurs de la démocratie et du dialogue politique à "condamner fermement" l'attaque contre Donald Trump.

Le Premier ministre indien Narendra Modi s'est dit "très inquiet". "Je condamne fermement cet incident. La violence n'a pas sa place en politique et dans les démocraties. Nous lui souhaitons un prompt rétablissement", a-t-il dit.

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a écrit que lui-même et son épouse Sara étaient "choqués par l'apparente attaque contre le président Trump". "Nous prions pour sa sécurité et son prompt rétablissement ».

Le chancelier allemand Olaf Scholz a qualifié d'"ignoble" la tentative d'assassinat, estimant que la violence politique constitue une menace pour la démocratie.

Le nouveau Premier ministre britannique Keir Starmer a fait part de sa consternation: "la violence politique sous quelque forme que ce soit n'a pas sa place dans nos sociétés".

La cheffe du gouvernement italien Giorgia Meloni a exprimé "sa solidarité" à Trump, demandant que "le dialogue et la responsabilité aient le dessus sur la haine et la violence".

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a également fait part de sa "consternation". "Une telle violence n'a pas de justification et aucune place dans ce monde. La violence ne doit jamais prévaloir".

Moscou a appelé Washington à faire l'"inventaire de ses politiques d'incitation à la haine" contre "les opposants politiques, les pays et les peuples", se servant de la tentative d'assassinat pour dénoncer le soutien américain à Kiev.

Avec AFP