La honte !

Après avoir perdu toute crédibilité, Nasser Zefzafi a choisi encore une fois de se donner en spectacle. Oublié et abandonné par ses amis, Zefzafi a dirigé une nouvelle mascarade, au cours de laquelle il a entrainé cinq de ses partisans dans une tentative dénuée de tout sens.

Dans un courrier adressé au ministère de la justice, Nasser Zefzafi et ses cinq acolytes demandent à ce qu’ils soient déchus de leur nationalité.

Ladite lettre a été signée par Nasser Zefzafi, Nabil Ahemjik, Mohammed Haki, Wassim El Boustani, Zakaria Adchour et Samir Ighid.

Cette nouvelle tentative n’est qu'une manière pour Zefzafi d’attirer les lumières des projecteurs sur lui, lorsqu’il se sent oublier par ses soutiens et lorsque ses plans désespérés tombent à l’eau.

Ainsi, lors d'une précédente opération, Zefzafi a tenté de provoquer le chaos pour attirer l'attention et tenter de recouvrer son capital sympathie. Alors qu'il se trouvait à la prison d'Ain al-Sabaa, il avait appelé à ce qu’il soit soigné en raison de soi-disant douleurs à l'une de ses jambes.

Alors qu’un infirmier s’attelait a lui prodiguer les soins nécessaires, Zefzafi a commencé à jeter les instruments médicales sur le sol et s’est même blessé volontairement la main. Zefzafi a alors exigé la présence du directeur et d’un médecin, estimant que les soins fournis étaient insuffisants.

Encore une fois, ce sont des gesticulations visant uniquement à faire du bruit... dans le vide. Et pour cause ! Quand on est prisonnier, on perd cette possibilité de la demande de déchéance de la nationalité.