Fidèle à son discours féministe, le Mouvement Alternatif pour les libertés individuelles (MALI), n’oublie pas ses protégées et lance une alerte quant aux violences conjugales dont pourraient être victimes les femmes en cette période de confinement. Le mouvement évoque « des violences sexistes dont la charge mentale et les injonctions patriarcales ». Il n’oublie pas de mettre l’accent sur le fardeau de toutes les tâches quotidiennes liées à la gestion du foyer familial et dont la responsabilité incombe en grande partie, si ce n’est exclusivement aux femmes. MALI met en garde également contre les violences psychologiques, verbales, physiques et sexuelles risquant de sévir en huit clos pendant cette période  d’isolement. « Le confinement augmente les risques de passage à l’acte », affirme-t-on auprès de MALI.