La mort rôde dans les camps de Tindouf où règne un silence de cimetière, rapporte l’un des « séquestrés » dans ces camps. Ce dernier a pu revenir dans ces lieux de la honte après avoir été, pendant des jours, bloqués aux frontières mauritaniennes qui ont été fermées à cause du Coronavirus. Comme d’autres revenants, il a été jeté dans des chambres que l’on dit d’isolement, et qui sont aussi rudimentaires que des cellules des pires prisons, comme on peut le voir sur ces photos.

De nombreux séquestrés se trouvent ainsi emprisonnés par les dirigeants du Polisario. Ces derniers, rapportent des séquestrés, « se sont confinés dans leur confort habituel, comme l’ont fait leurs donneurs d’ordre algériens, et ont abandonnés tout Tindouf au Coronavirus ».

Un nouveau crime contre l’humanité est en train d’être commis par le Polisario en ces temps cataclysmiques du Coronavirus, dans l’indifférence générale.