Dans un contexte de fortes tensions entre les deux puissances, le chef de la diplomatie américaine annonce de nouvelles restrictions visant les diplomates chinois en poste aux Etats-Unis. "Nous réclamons simplement une réciprocité" de traitement des diplomates, a déclaré le secrétaire d'Etat américain Mike Pompeo lors d'un point de presse…
Le département d'État US annonce des restrictions contre les diplomates chinois
Le secrétaire d'État Mike Pompeo a annoncé mercredi un ensemble de nouvelles restrictions contre les diplomates chinois opérant aux États-Unis. Une mesure qui, selon le chef de la diplomatie américaine, répond aux «barrières importantes» similaires auxquelles sont confrontés les diplomates américains en Chine, informe Politico. D’ailleurs, Pompeo a déclaré aux journalistes que Pékin a mis en place "un processus d'approbation opaque conçu pour empêcher les diplomates américains de mener des activités régulières, assister à des événements, participer à des réunions ou se connecter avec le peuple chinois" alors que les diplomates chinois ont un «un accès facile à la société américaine». Selon les nouvelles restrictions, les hauts diplomates chinois basés aux États-Unis doivent avoir l’aval du Département d'État pour se rendre dans les campus universitaires, rencontrer des officiels locaux ou encore organiser des événements culturels de plus de 50 personnes hors des résidences diplomatiques. L'administration Trump fera également pression pour que tous les comptes officiels des médias sociaux gérés par le gouvernement chinois soient identifiés comme tels, note le média.
Folle envolée de la dette américaine
Selon The Wall Street Journal, la dette publique américaine devrait dépasser la taille de l'économie au cours de l’exercice budgétaire 2021, une première depuis la Seconde Guerre mondiale. Les fonds de secours gigantesques débloqués par le gouvernement en raison des perturbations économiques causées par la pandémie, la contraction du PIB et la baisse des recettes fiscales ont alourdi davantage le fardeau de la dette, explique le WSJ. Par ailleurs les services du budget du Congrès (CBO) qui pointent aussi un déficit budgétaire record, ont indiqué mercredi que la dette publique devrait atteindre voire même dépasser 100% du PIB au cours de l'exercice débutant le 1er octobre, mettant les États-Unis au même rang que le Japon, l'Italie et la Grèce, toutes des économies dont la dette dépasse la taille de l’économie. La dernière fois que la dette publique a atteint ces niveaux record c’était en 1946 (106% du PIB) lorsque l’Amérique finançait les opérations militaires pour mettre fin à la Seconde Guerre mondiale. Et le Journal de préciser qu’à la fin du mois de juin, la dette publique est passée de $17,7 trillions fin mars à $20,5 trillions, soit une hausse de 16% en trois mois seulement. Pendant ce temps, l'économie américaine a décru de 9,5% au 2éme trimestre, portant la dette en pourcentage du PIB à 105,5%, contre 82% au premier trimestre. Réduire la dette de la nation n’avait pourtant pas été au cours des dernières années une priorité ni pour les législateurs démocrates ni pour leurs homologues républicains relève la publication.
Covid19 – Tolérance zéro dans les campus universitaires
Alors que l’épidémie poursuit sa course dans les campus, les dirigeants des universités américaines adoptent une position de tolérance zéro contre le non-respect des mesures sanitaires par les étudiants, relève The New-York Times. Quelques semaines à peine après le début du semestre, les milieux universitaires intensifient leur réaction aux soirées étudiantes - les soi-disant événements super-contamineurs qui font fi des normes sanitaires. Et ce, en appliquant des mesures punitives telles que des suspensions et des sanctions par les associations d’étudiants/étudiantes. Une forme de répression qui intervient alors que les campus sont aux prises avec une hausse fulgurante des infections. Un jour après avoir suscité des éloges pour avoir ordonné des tests deux fois par semaine sur les étudiants et le personnel, l'Université de l'Illinois a exhorté les étudiants mercredi à limiter les activités en personne pendant deux semaines, y compris les petits rassemblements. Une mesure annoncée suite à la contamination de plus de 700 étudiants depuis le 24 août. Une autre université, à Columbia, S.C., qui compte environ 35000 étudiants, a recensé plus de 1000 cas Covid-19 parmi ses étudiants, informe le NYT.
La mise en garde du Dr. Anthony Fauci
L'interprète de « Toxic » serait `` fortement opposée '' à ce que sa curatelle soit gérée par son père Jamie, rapporte Fox News. Britney Spears a été sous sa tutelle pendant plus d'une décennie. Après la prolongation de la tutelle le mois dernier, il a été révélé que la sœur de la pop star de 38 ans, Jamie Lynn (trustee), aurait demandé que les biens et les intérêts de Spears soient gérés par une société fiduciaire, en l’occurrence Bessemer Trust Company, N.A. en vertu de l'article 1810 du Code des successions. Jamie aurait été répressif dans la gestion du patrimoine de sa fille. Ce qui a incité le public à se demander s'il ne détournait les finances de la superstar mondiale pour son propre compte d’où le mouvement #FreeBritney qui dénonce la supposée emprise toxique de Jamie sur sa fille. Son père a nié ces allégations, affirmant qu'il était tenu de «déclarer chaque sou dépensé au tribunal, chaque année», lit-on sur le site de Fox News.
Jamila Arif