Tebboune. Ah, ce Maroc que je ne saurais tolérer
Abdelmajid Tebboune, pru00e9sident d'Algu00e9rie, u00e7a phosphore dur

Abdelmajid Tebboune, le président algérien est certainement un président heureux. Son pays n’a aucun problème, tout le monde vit dans l’opulence, ce qui lui laisse le temps de se consacrer aux affaires internationales. En fait à l’affaire internationale, la seule à propos de laquelle il peut se permettre de dire quelque chose, le Sahara marocain.

Hier encore, il en parlé, à distance, à l’Assemblée générale des Nations Unies. Il a repris ce que ses prédécesseurs ont toujours dit, la non résolution de cette affaire bloque le développement de toute la région.

Ah d’accord, mais encore faut-il que certains pays consacrent toutes leurs ressources pétrolières et gazières au développement au lieu de les voler au peuple et les convertir en richesses privées en Europe et un peu partout dans le monde. Donc, on se calme un peu.

Le sous-développement dans lequel patauge l’Algérie, le Maroc n’y est pour rien. Au contraire, il veut dépasser la crise politique et entamer une ère de prospérité commune. Il y a très bien réussi en Afrique.

Enfin, ces causes perdues, il en existera toujours, le problème n’est pas d’y croire, mais d’y croire trop longtemps. Encore une chose, l’URSS n’existe plus depuis longtemps. Mais à la décharge du président Tebboune, le Maroc est pour lui le mauvais exemple, à ne surtout pas suivre. Il réussit sans pétrole et sans gaz. Méchant le Maroc!