Le masque est aussi une question d'habitude, voire d'entraînement, mais sans crispation. Son rejet pourrait être d'origine psychique.

Pour lever le "blocage" vis-à-vis du masque, il faut bien admettre qu'il constitue la première barrière qui serait la plus efficace contre la pandémie mortelle.

L'exemple de l'adhésion volontaire des habitants des pays asiatiques au port de cet accessoire, devenu aujourd"hui vital, est à méditer et surtout à suivre.