Maroc/Europe : 14 nouvelles lignes aériennes

Pour relancer le secteur touristique national, l’ONMT et Royal Air Maroc lancent 15 nouvelles routes en direction de la France, de l’Allemagne, de l’Espagne, de l’Italie, de la Belgique et du Royaume-Uni.

Ce sont ainsi quelque 150.255 sièges qui seront injectés sur les 5 prochains mois, à partir du 15 Décembre 2020, pour relier Marrakech, Agadir et Dakhla à 10 métropoles européennes, tout en renforçant les fréquences de sa ligne aérienne Marrakech-Paris. Concrètement, Royal Air Maroc lance huit routes aériennes directes reliant Marrakech à Londres, Bruxelles, Madrid, Milan, Lyon, Marseille et Bordeaux. La ville Ocre sera reliée à la capitale du Royaume Uni à raison de 4 fréquences par semaine. Quant à Bruxelles, Madrid et Milan, ils seront desservis par 3 vols par semaine pour chaque liaison aérienne. Les lignes reliant Marrakech aux quatre villes françaises seront opérées à raison de 2 fréquences par semaine. En outre, la Compagnie Nationale renforcera les fréquences de sa route aérienne Marrakech-Paris pour passer à 10 fréquences par semaine au lieu de quatre.

Le programme comprend également 4 nouvelles routes aériennes directes reliant Agadir à Londres, Bruxelles, Manchester et Lyon à raison de 2 fréquences par semaine pour chaque liaison.

Quant à Dakhla, elle sera reliée à Paris à raison de deux fréquences par semaine. Il s’agira de la première connexion sur le continent européen, pour un vol RAM à partir de Dakhla. « L’ONMT a choisi d’activer cette route avec Royal Air Maroc afin d’impliquer la compagnie nationale sur ce créneau touristique et faire profiter les visiteurs internationaux de Dakhla et de l’expérience Maroc dès l’embarquement à Paris », précise l’ONMT. Le directeur général de l’office estime que « Pour l’Office, il était important de contribuer à mettre en place ces nouvelles liaisons afin d’amorcer la reprise en sécurisant la connectivité des destinations marocaines vers les principaux marchés émetteurs. L’aérien étant l’un des principaux leviers de la relance. Notre challenge, à présent, est de booster la demande sur ces marchés pour assurer une reprise maximale».