L’Alliance internationale de défense des droits et des libertés (AIDL) condamne et incrimine fermement l’enrôlement des enfants et leur exploitation pour les impliquer dans les conflits et les guerres.
L'Alliance internationale pour la défense des Droits et des Libertés (AIDL) a renouvelé, dans un communiqué publié ce lundi 4 janvier, sa condamnation totale pour le recrutement et l'exploitation des enfants en les plongeant dans des zones de conflit et de guerre. « Il s'agit d'un crime international qui nécessite des poursuites et un suivi internationaux pour toutes les personnes impliquées », rappelle l’organisation.
[caption id="attachment_95808" width="514"] AIDL est un collectif international de défense des Droits de l'Homme qui a été créé en 2009.[/caption]
L'AIDL affirme avoir reçu le cadre des enquêtes et du suivi que mènent ses membres une cassette vidéo diffusée sur les réseaux sociaux montrant des enfants de la région de Tindouf. Ces derniers «s'entraînent aux tirs avec des armes et ils sont endoctrinés et encouragés à participer au conflit en cours avec le Maroc», précise l’ONG.
L'Alliance internationale AIDL rappelle avec insistance que tout recrutement d"enfants, leur exploitation et leur implication dans des conflits et des guerres est complètement interdit et criminalisé en droit international, aussi il place tous les responsables de cette pratique sous la responsabilité et les poursuites judiciaires internationales.
En demandant des explications aux dirigeants du Polisario, qu’ils ne fourniront jamais puisque cet enrôlement criminel fait partie de leur stratégie de guerre contre le Maroc, l’Alliance prône le retour au dialogue et aux moyens pacifiques pour résoudre le conflit existant et reprendre la voie des négociations parrainées par les Nations Unies.
Partant de ses devoirs et ses engagements internationaux, l’AIDL souligne qu’elle met à disposition tous ses moyens pour soutenir et renforcer les efforts pour la réalisation de la paix.
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