Le «pouvoir» algérien rend service aux terroristes

Pendant que les dirigeants algériens ont les regards rivés sur le Maroc, les terroristes se renforcent dans leur pays. Ils menacent non seulement la sécurité en Algérie, mais aussi au Maghreb et dans le Sahel.

Ces derniers temps, les médias algériens s’inquiètent du retour en force des terroristes. Ces derniers ont commis dernièrement une série d’attentats qui font craindre le pire en Algérie. Le dernier attentat en date a été perpétré au cours de la soirée du 14 janvier dans la wilaya de Tébessa, à l’est du pays. L’explosion d’une bombe artisanale, actionnée à distance au passage d’un véhicule, avait alors fait cinq morts. Après ce drame, l’armée n’a rien trouvé de mieux à dire à la population que de lui conseiller d’éviter les « lieux dangereux ».

Pire, en continuant à armer les miliciens du Polisario, qui sont désormais bien connus des experts comme faisant partie des nébuleuses terroristes qui s’activent notamment au Sahel, les dirigeants algériens cautionnent le terrorisme et l’encouragent.

Or, en toute logique, si les services du contreterrorisme algérien, voulaient réellement combattre la nouvelle vague terroriste qui endeuille leur pays, ils n’auraient pas coupé les ponts avec le « FBI » marocain dont le monde entier reconnaît l’extrême efficacité. La preuve, Il y a à peine quelques jours, les services marocains ont fait éviter aux États-Unis un bain de sang en faisant déjouer le projet terroriste d’un jeune soldat américain. 

En saluant la coopération anti-terroriste du Maroc avec de nombreux pays à travers le monde,   lors de son passage dans l’émission «Avec Ramdani » diffusée dimanche 24 janvier, le nouveau patron du Bureau central d’investigations judiciaires (BCIJ) a déploré l’absence totale de contact avec les services algériens. Cherkaoui Habboub a exprimé son inquiétude face au « manque de réactivité » de ces services, « qui pourrait aboutir à un drame régional ».

Le problème c’est que le « pouvoir » algérien continue son soutien au Polisario.

 

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