Terrorisme verbal

Mohamed Abdelwahab al-Rafiki ne cesse de démystifier le processus de lavage de cerveaux qu’opèrent certains prédicateurs salafistes.

 

Les fatwas de ceux que l’islamiste repenti, Mohamed Abdelwahab al-Rafiki, qualifie de malades, ajoutés aux prêches wahabites qui foisonnent sur la toile, qui transforment des jeunes ayant des profils des plus ordinaires en assassins au nom d’Allah. Quand il se faisait appeler Abou Hafs, al-Rafiki s’adonnait lui aussi au takfirisme. C’est ce qui l’avait mené  en prison. Dans son cas, son incarcération lui avait permis de se remettre en cause. Il combat aujourd’hui l’obscurantisme qu’il prêchait. C’est loin d’être le cas de son ancien compagnon

Hassan Kettani. Ce dernier continue à empoisonner l’esprit de ses fans par ses propos divisant le Maroc et le monde en bons musulmans et en mécréants. A travers l’une de ses publications, ce prédicateur extrémiste parle de ses ennemis comme étant les ennemis de Dieu. Cela veut dire dans le langage des salafistes extrémistes que ces  « personnes maudites» sont bonnes à égorger. D’ailleurs, Mohamed Abdelwahab al-Rafiki a été lui-même déjà menacé de mort à cause de ses positions anti-salafistes.