Verdict de la justice néo-zélandaise : Nouvelle gifle pour le Polisario

 

Etant aux abois face aux succès successifs du Maroc dans la défense de son intégrité territoriale, le Polisario tente de provoquer des tempêtes dans un verre d’eau. Mais il se fait à chaque fois gifler. Cette fois-ci, une nouvelle claque lui a été donnée depuis la Nouvelle-Zélande.  

 

Dans ses tentatives désespérées de faire feu de tout bois, le Polisario a été à l’origine d’une action en justice qui devait déterminer si des investissements réalisés par le fonds souverain néo-zélandais (le NZSF), en lien avec les importations locales de phosphate en provenance de PhosBoucraa, était inopportune et pouvait nuire à la réputation de la Nouvelle-Zélande.

Même si cette supputation était clairement tirée par les cheveux, le sens éthique qui fait la réputation de la Nouvelle-Zémande a fait que sa justice a bien instruit ce dossier que ses magistrats ont bien ouvert le 5 mars 2020. 10 jours étais suffisants pour que ces derniers rendent leur verdict. Le 15 mars, les allégations avancées par le Polisario ont été catégoriquement rejetées dans leur fond, comme dans leur forme.

Dans le fond, les investissements du NZSF ont été déclarés parfaitement conformes aux exigences légales et éthiques imposées par le droit néo-zélandais et les principes des Nations Unies pour l’investissement responsable. La réponse a été on ne peut plus clair aux « polisariens », le Fonds souverain néo-zélandais a bien respecté son obligation statutaire de veiller à préserver la réputation de la Nouvelle-Zélande.

Dans la forme, aucune juridiction locale n’est habilitée à statuer sur un procès sur fond de différend géopolitique.

En tout cas, à chacune de ses vaines tentatives, le Polisario provoque, à travers les jurisprudences qu’il initie, l’effet contraire de ce qu’il escompte. Ce front fantomatique contribue à la reconfirmation solennelle de la reconnaissance de la légalité incontestable des opérations économiques