On abat bien les poulets
Ahmed Brija

Selon le premier vice-président du Conseil de la ville de Casablanca, Ahmed Brija, les abattoirs de la commune sont gérés d'une manière rationnelle et convenable. Il précise encore que la commune a reçu un soutien financier de 6 millions de dirhams, généreusement offerts par le ministère de l'Intérieur. On est donc rassurés. Mais un tour à l’abattoir avicole de Roches noires, peut finir par dégoûter de manger du poulet. Une saleté et un désordre qu’on n’a jamais vu nulle par ailleurs.