Minables barbouzeries
Cette photo a u00e9tu00e9 prise dans la ru00e9sidence de lu2019ancien ambassadeur des USA u00e0 Rabat. Nous avions demandu00e9 une interview au su00e9nateur amu00e9ricain John Mc Cain, en visite au Maroc, qui a acceptu00e9 avec plaisir. Eh oui, nous sommes journalistes. Les pirates lu2019ont publiu00e9e et construit toute une histoire dessus. Cu2019est vrai que James Bon a inspiru00e9 plusieurs gu00e9nu00e9rations, mais tout de mu00eame !

Mon compte a été piraté depuis 2010. Un site, connu pour appartenir aux services secrets algériens, a publié de prétendus emails échangés avec mes correspondants, souvent des amis ou des relations de travail. Ces emails ont été, par la suite, trafiqués et accompagnés de faux grossiers. Cette attaque, criminelle est surtout minable. Elle disqualifie son auteur, sans porter atteinte à ses victimes, car mes correspondants sont trainés dans la boue. Elle vise l’Etat Marocain au travers d’un homme de presse indépendant qui n’a aucune obsession anti-algérienne. Ces méthodes des services algériens rappellent celles de l’ancien KGB. La manipulation n’a aucune limite pour eux. Ils n’ont pas la moindre morale. Le mensonge le plus vil est leur arme favorite. Ils appliquent le précepte de Staline « calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose ! ». Les voyous, les sans-honneur, les barbouzes qui dirigent l’Algérie, et maintiennent son peuple sous une dictature corrompue ne me font pas peur. Ils ne font que dévoiler encore plus leur visage hideux, leurs méthodes staliniennes et leur obsession maladive contre le Maroc. Pour ma part, je continuerai à servir mon pays, selon mes valeurs, attaché à la démocratie, au développement, aux libertés dont celle, importante, d’une presse indépendante. Je ne dévierai pas de cette ligne de conduite, malgré l’attaque des rats des services algériens qui mettent d’énormes moyens au service de minables opérateurs de barbouzerie sans effet. Ce que ces incultes oublient, c’est que les opinions publiques ne sont pas dupes. Elles savent faire le tri entre une information et un montage truqué par des officines qui, même dans leur métier, ont un demi-siècle de retard. Qui peut croire ce tissu de mensonges mettant en cause des professionnels reconnus, à part quelques internautes naïfs ? Si j’avais la moindre activité occulte, la première des précautions aurait été de sécuriser mes emails. Si je ne l’ai pas fait c’est parce que je n’ai rien à cacher. Maintenant, j’invite les services algériens à venir fouiller dans le vomi que leur pourriture m’inspire.

Ahmed Charaï