Le 1er laboratoire d’analyse de gaz en Afrique signé SGS
Mehdi Benzaari, DG de SGS Maroc

'Après plus de 60 longues années de présence au Maroc, SGS Maroc actif dans l’inspection, la certification et la vérification des produits agricoles et des produits miniers ouvre le premier laboratoire mobile d’analyse de gaz  en Afrique.'

 

Un mois après la nomination d’un nouveau DG à la tête de sa filiale marocaine, le groupe suisse SGS, présent depuis 1951 au Maroc se décide enfin à sortir de sa tanière pour trois bonnes raisons. La première est une annonce de taille : SGS Maroc lance le premier laboratoire d’analyse de gaz en Afrique. Conçu par le centre de recherche et développement du groupe aux États-Unis, cet équipement va permettre selon Mehdi Benzaari, DG de SGS Maroc, d’assurer une bonne qualité de gaz à l’utilisateur final surtout que le royaume importe plus que 95% de ses besoins en la matière. L’actualité de SGS Maroc porte également sur la conclusion d’une convention avec le Centre national de prévention des accidents de la circulation (CNPAC). Il s’agit d’un accord qui sera décliné sous forme de journées portes ouvertes de sensibilisation à la sécurité routière au profit non seulement des usagers, mais aussi aux écoliers, futurs concernés. Aussi, SGS profitera de ses 25 centres de visites techniques présents au Maroc, pour proposer des quizz aux automobilistes lors des 20 minutes de temps d’attente lors des contrôles techniques. Les résultats récoltés seront transmis pour traitement au ministère de transport. SGS MAROC profite de l’occasion pour annoncer aussi la certification récente du groupe OCP, une première du genre en Afrique.

Dans les activités du groupe implanté dans 150 pays, « le Maroc revêt une place de première importance dans le Maghreb. Il s’agit de la première filiale en termes de chiffre d’affaires et le pays qui représente le plus grand potentiel de diversification et de croissance dans la sous région », tient à souligner Tahar Ktari, directeur régional Maghreb de SGS. Et de rajouter en guise de conclusion « on investit depuis 1951 au Maroc, et on continuera à investir pour accompagner le développement du pays dans les secteurs les plus stratégiques ».