Nizar Baraka et les membres du Conseil Economique Social et Environnemental (CESE) ont la lourde tâche d’élaborer le très attendu rapport sur la richesse immatérielle du pays. Ils se sont également engagés, à travers le plan d’action 2015 de cette institution, de publier d’autres rapports tout aussi importants sur divers sujets d’auto-saisines. Leur liste est assez longue : Politiques industrielles, auto-emploi, levier pour intégrer les secteurs des métiers informels, situation des personnes âgées au Maroc, défis et enjeux pour une protection effective des droits de l’enfant, dynamisation de la vie associative, égalité homme-femme dans la vie culturelle et sociale, changement climatique, responsabilité sociétale des organisations, nouvelles technologies et valeurs, économie de la culture, exigences de la  régionalisation avancée et défis de la convergence des politiques sectorielles, développement rural en lien avec l’équité interrégionale et intra-régionale.

Ce ne sera pas tout, le CESE devra aussi établir son rapport annuel sur la conjoncture économique sociale et environnementale du pays.