etats-Unis
Quatre Miss africaines en lice pour la couronne de Miss Univers (Vidéos et photos)
Pas de Marocaine ni de prétendantes arabes au sacre de Miss Univers 2020 ayant été retardé à cause de la crise pandémique. Dans cette course très courue, quatre représentantes de l’Afrique aspirent à remporter le titre très convoité de reine mondiale de la beauté.
Ces Miss africaines sont en lice pour la couronne de Miss Univers
Parmi plus de 70 candidates au titre de Miss Univers 2021, trois belles africaines prétendent à la précieuse couronne dont la porteuse sera connue le dimanche16 mai en Floride aux États-Unis à 00H00 GMT. La 69e édition de ce prestigieux concours aura lieu au Seminole Hard Rock Hotel & Casino à Hollywood. Chacune des prétendantes a besoin du plan large soutien possible pour se démarquer de ses concurrentes. Toutes se valent.
Couronnée Miss Ghana 2020, Tayui a étudié à DePaul University à Chicago où elle décroché un diplôme en communication qui lui a permis de devenir directrice de communication au sein de la Fondation KJM. Cette ONG vient en aide aux populations nécessiteuses, surtout aux plus jeunes, pour leur assurer certains besoins élémentaires.
Chelsea Tayui œuvre à faire connaitre l’autisme. Deux éléments déclencheurs l’ont poussé vers ce terrain. Son jeune frère a été diagnostiqué autiste et elle affirme avoir appris que des femmes au Ghana noient leurs bébés autistes, en raison d’un manque de sensibilisation et d’un manque de connaissances sur ce trouble. Miss Ghana serait mieux écoutée si elle devenait Miss Univers.
La troisième représentante africaine est Miss Île Maurice en 2019. Il s’agit de Vandana Jeetah, 29 ans.
Cette avocate en entreprises est une grande amoureuse de voyage. Elle a déjà découvert pas moins de 33 pays. Si elle reportait le titre de Miss Univers, elle pourra faire tranquillement son tour du monde... en mois de 90 jours.
Deuxième finaliste de Miss Afrique du Sud 2020, Natasha Joubert est diplômé en commerce et avait déjà travaillé comme responsable RP. Depuis 2016, elle a lancé sa propre marque de vêtements «Natalia Jefferys». Cette prétorienne veut devenir la quatrième Miss Universs sud-africaine après Zozibini Tunzi qui a remporté la couronne en 2019, Leila Lopes en 2011 et Mpule Kwelagobe en 1999.
Angele Kossinda en habit traditionnel camerounais
La première (par ordre alphabétique) est l’actrice Angele Kossinda, 28 ans.
Chelsea Tayui en habit traditonnel ghanéen
La deuxième est la Ghanéenne Chelsea Tayui, 25 ans.
Couronnée Miss Ghana 2020, Tayui a étudié à DePaul University à Chicago où elle décroché un diplôme en communication qui lui a permis de devenir directrice de communication au sein de la Fondation KJM. Cette ONG vient en aide aux populations nécessiteuses, surtout aux plus jeunes, pour leur assurer certains besoins élémentaires.
Chelsea Tayui œuvre à faire connaitre l’autisme. Deux éléments déclencheurs l’ont poussé vers ce terrain. Son jeune frère a été diagnostiqué autiste et elle affirme avoir appris que des femmes au Ghana noient leurs bébés autistes, en raison d’un manque de sensibilisation et d’un manque de connaissances sur ce trouble. Miss Ghana serait mieux écoutée si elle devenait Miss Univers.
Vandana Jeetah veut briller de mille éclats le jour J
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La troisième représentante africaine est Miss Île Maurice en 2019. Il s’agit de Vandana Jeetah, 29 ans.
Cette avocate en entreprises est une grande amoureuse de voyage. Elle a déjà découvert pas moins de 33 pays. Si elle reportait le titre de Miss Univers, elle pourra faire tranquillement son tour du monde... en mois de 90 jours.
Natasha Joubert est une pro du Fashion
La quatrième et dernière représentante de l’Afrique est Natasha Joubert, 23 ans.
Deuxième finaliste de Miss Afrique du Sud 2020, Natasha Joubert est diplômé en commerce et avait déjà travaillé comme responsable RP. Depuis 2016, elle a lancé sa propre marque de vêtements «Natalia Jefferys». Cette prétorienne veut devenir la quatrième Miss Universs sud-africaine après Zozibini Tunzi qui a remporté la couronne en 2019, Leila Lopes en 2011 et Mpule Kwelagobe en 1999.