Société
La direction de la prison locale de Aïn Sebaâ 1 répond à de nouvelles «allégations tendancieuses»
L’épouse de Soulaimane Raissouni a, encore une fois, publié des assertions sur les conditions de détention de son mari qui ont fait, de nouveau, réagir la direction de la prison locales de Aïn Sebaâ 1 où il est détenu.
Prison d'Aïn Sebaa à Casablanca
Soulaimane Raissouni a pu avoir accès deux fois au téléphone, les 14 et 15 mai, mais c’est lui qui a refusé de ne pas l’utiliser. Cette précision a été apportée par la direction de la prison locales de Aïn Sebaâ, en réponse aux «fausses informations» véhiculées, à travers les réseaux sociaux, par l’épouse du détenu. Cette dernière avait prétendu que son mari avait été empêché de communiquer avec sa famille.
Elle avait aussi soutenu qu’elle a été empêchée de faire parvenir au détenu des produits alimentaires à l’occasion de l’Aïd El Fitr.
Là encore, l’établissement pénitentiaire botte en touche, précisant que l’heure choisie pour la remise du «coffin de l’Aïd» ayant été effectivement autorisé à l’occasion de cette fête religieuse n’était pas conforme aux horaires des visites prévus et clairement affichés.
La direction de la prison locale de Aïn Sebaâ 1 voit en les «informations mensongères» véhiculées par des membres de la femme du détenu concerné «une tentative d’attirer l’attention de l’opinion publique qu’ils induisent délibérément en erreur.»
Elle avait aussi soutenu qu’elle a été empêchée de faire parvenir au détenu des produits alimentaires à l’occasion de l’Aïd El Fitr.
Là encore, l’établissement pénitentiaire botte en touche, précisant que l’heure choisie pour la remise du «coffin de l’Aïd» ayant été effectivement autorisé à l’occasion de cette fête religieuse n’était pas conforme aux horaires des visites prévus et clairement affichés.
La direction de la prison locale de Aïn Sebaâ 1 voit en les «informations mensongères» véhiculées par des membres de la femme du détenu concerné «une tentative d’attirer l’attention de l’opinion publique qu’ils induisent délibérément en erreur.»
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