Confessions dominicales. Ceuta, Brahim Ghali, l’Allemagne…
En partant des remous survenus à Ceuta, Abu Wael Al-Rifi revient sur l’affaire Brahim Ghali. L’analyste-chroniqueur s’arrête aussi sur la surprenante position allemande…

Abu Wael Al-Rifi entame ces confessions par le branle-bas de combat constaté à Ceuta qui a été submergé par des flux de candidats à la migration irrégulière, dont de nombreux mineurs. En soulignant la violence utilisée par les forces de l’ordre espagnols qui ont été dépassés par cette situation, le chroniqueur met en exergue le rôle qu’a toujours joué le Maroc, avec grande efficacité, face aux flux migratoires incessants, épargnant ainsi l’Espagne et le reste de l’Europe d’un souci majeur dont tout le monde peut mesurer aujourd’hui la gravité. Parce qu’au-delà de la migration, les forces sécuritaires marocaines font barrage aux trafiquants de tous genres et aux terroristes, précise-t-il en demandant à ceux qui relèguent le Maroc au rang de « gendarme» taillable et corvéable à merci à se détromper.
La balle est maintenant dans le camp des Espagnols et les prochains diront si leur justice respectera les règles de droit pour actionner la poursuite de Brahim Ghali, sur les basses des nombreuses plaintes reçues par sa plus haute juridiction.
Sur le même sujet, Abu Wael s’étonne de la partialité d’une chaîne de télévision allemande et du double langage du gouvernement du pays de Merkel. Affirmant qu’ils n’ont pas le droit d’intervenir dans le travail des médias, ces dernières assistent passivement aux attaques systématiques menée contre le Maroc par cette chaîne. Or, à travers une note adressée secrètement par ces mêmes autorités aux médias de leurs pays au sujet des derniers développements du conflit israélo-palestinien, elles dictent la ligne de conduite à tenir par les journalistes.
Le chroniqueur estime que de telles inimitiés n’entament en rien la détermination du Maroc à faire valoir et à défendre, par tous les moyens, ses droits et ses intérêts stratégiques.
Certains faits donnent raison au Royaume, souligne Abou Wael en donnant comme exemple la publication, mardi 18 mai, par l’Administration Biden de l’accord officialisant la reprise des relations maroco-israéliennes qui a été signé par les États-Unis aussi comme témoin de cette décision historique.
De quoi clouer le bec certains spéculateurs qui espèrent le pire au Maroc, ajoute l’analyste. Et de conclure que le meilleur reste à venir...
Il s’interroger alors sur le sens des «relations stratégiques historiques» que peut avoir aujourd’hui les relations hispano-marocaines. Insistant sur la nécessité de la clarté réclamée par les autorités marocaines à leurs homologues espagnoles, le chroniqueur loue le sens de la mesure et le sang froid qui a marqué les réactions marocaines.Revenant au scandale d’Etat que constitue l’affaire Brahim Ghali Ben Battouche, Abu Wael affirme que ce dossier est révélateur de la complicité pernicieuse entre Madrid et Alger.
La balle est maintenant dans le camp des Espagnols et les prochains diront si leur justice respectera les règles de droit pour actionner la poursuite de Brahim Ghali, sur les basses des nombreuses plaintes reçues par sa plus haute juridiction.
Sur le même sujet, Abu Wael s’étonne de la partialité d’une chaîne de télévision allemande et du double langage du gouvernement du pays de Merkel. Affirmant qu’ils n’ont pas le droit d’intervenir dans le travail des médias, ces dernières assistent passivement aux attaques systématiques menée contre le Maroc par cette chaîne. Or, à travers une note adressée secrètement par ces mêmes autorités aux médias de leurs pays au sujet des derniers développements du conflit israélo-palestinien, elles dictent la ligne de conduite à tenir par les journalistes.
Le chroniqueur estime que de telles inimitiés n’entament en rien la détermination du Maroc à faire valoir et à défendre, par tous les moyens, ses droits et ses intérêts stratégiques.
Certains faits donnent raison au Royaume, souligne Abou Wael en donnant comme exemple la publication, mardi 18 mai, par l’Administration Biden de l’accord officialisant la reprise des relations maroco-israéliennes qui a été signé par les États-Unis aussi comme témoin de cette décision historique.
De quoi clouer le bec certains spéculateurs qui espèrent le pire au Maroc, ajoute l’analyste. Et de conclure que le meilleur reste à venir...