Confessions dominicales. La crise maroco-espagnole entre les sages ténors et les faucons extrémistes
Abu Wael Al-Rifi s'arrête à nouveau sur la crise provoquée par l'actuel gouvernement espagnol avec le Maroc. Il oppose aux voix des pyromanes ayant induit en erreur Pedro Sanchez celles des sages ténors devant être écoutées.

«Le Maroc ne verse jamais dans le mélange des genres», souligne l’auteur des confessions dominicales dans son analyse de de dimanche. Abu Wael Al-Rifi met en exergue la grande capacité à faire la distinction entre les litiges conjoncturels et les questions stratégique. Une qualité que reconnaissent au royaume des ténors politiques, comme l’ancien chef du gouvernement espagnol, Jose Luis Rodriguez Zapatero, précise l’analyste. Ce dernier donne comme preuve de cette bonne connaissance, les déclarations de Zapatero à la télévision espagnole «Canal Sur» réaffirmant que le Maroc a toujours été un partenaire sérieux, dynamique et fidèle envers l'Espagne dans la lutte contre le terrorisme djihadiste et l'immigration irrégulière.
L’attitude du Maroc, qui continue à lutter sans relâche contre les réseaux criminels internationaux, montre son sens de responsabilité, ajoute Abu Wael, comme le montre le récent coup de filet réussi par ses services de sécurités à Farkhana, dans la province de Nador, contre des trafiquants de psychotropes.
Reprenant la suite de déclaration de Zapatero, l’auteur des confessions dominicales estime que cet ancien chef du gouvernement espagnol a dû remuer le couteau dans la plaie de ses pairs qui sont hostiles au Maroc en affirmant que le plan marocain d’autonomie reste la solution pour le règlement définitif de la question du Sahara.
Abu Wael cite d’autres ténors dont José Bono Martínez et José Manuel García-Margallo, pour inviter le gouvernement espagnol à les écouter. Le premier est l’ancien chef des services de renseignements extérieurs espagnols et ancien ministre de la Défense. Il a prévenu ceux parmi les responsables espagnols qui soufflent sur les braises pour aggraver la crise avec le Maroc, rappelle l’analyste, commettent un acte suicidaire.
Le second un ex chef de la diplomatie espagnole. Lui aussi a invité les responsables de son pays à savoir raison garder en plaçant les relations maroco-espagnoles dans le contexte actuel des nouvelles réalités géostratégiques, notamment en ce qui concerne la question du Sahara ayant fait l’objet d’une proclamation américaine solennelle en faveur de la souveraineté du Maroc.
Abu Wael Al-Rifi fait remarquer que le Maroc ne prête guère l’oreille aux voix de la droite fasciste qui s'est mobilisée pour défendre la logique coloniale, aveuglé par un chauvinisme éculé.
L’auteur des confessions dominicales prédit que la voix de la raison finira par se faire entendre et que les décisions judiciaires nécessaires seront prises à l’encontre du chef des séparatistes du Polisario, Brahim Ghali, dont l’entrée cachée sur le sol espagnol est à l’origine de la crise maroco-espagnole.
L’attitude du Maroc, qui continue à lutter sans relâche contre les réseaux criminels internationaux, montre son sens de responsabilité, ajoute Abu Wael, comme le montre le récent coup de filet réussi par ses services de sécurités à Farkhana, dans la province de Nador, contre des trafiquants de psychotropes.
Reprenant la suite de déclaration de Zapatero, l’auteur des confessions dominicales estime que cet ancien chef du gouvernement espagnol a dû remuer le couteau dans la plaie de ses pairs qui sont hostiles au Maroc en affirmant que le plan marocain d’autonomie reste la solution pour le règlement définitif de la question du Sahara.
L’analyste affirme que Jose Luis Rodriguez Zapatero est de la trempe des ténors politiques n’ayant rien à voir avec des responsables politiques espagnols actuels qui ravivent les tensions par leur frivolité et leurs improvisations.
Abu Wael cite d’autres ténors dont José Bono Martínez et José Manuel García-Margallo, pour inviter le gouvernement espagnol à les écouter. Le premier est l’ancien chef des services de renseignements extérieurs espagnols et ancien ministre de la Défense. Il a prévenu ceux parmi les responsables espagnols qui soufflent sur les braises pour aggraver la crise avec le Maroc, rappelle l’analyste, commettent un acte suicidaire.
José Bono: grâce au #Maroc, l'#Espagne a arrêté de nombreux terroristes et évité des attentats meurtriershttps://t.co/gkHGw08BuP
— Medi1TV Afrique (@Medi1tvAfrique) May 24, 2021
Le second un ex chef de la diplomatie espagnole. Lui aussi a invité les responsables de son pays à savoir raison garder en plaçant les relations maroco-espagnoles dans le contexte actuel des nouvelles réalités géostratégiques, notamment en ce qui concerne la question du Sahara ayant fait l’objet d’une proclamation américaine solennelle en faveur de la souveraineté du Maroc.
El gobierno español dió la espalda al nuevo contexto geopolítico internacional, tras la decisión de #EEUU de reconocer la Soberanía de #Marruecos sobre el #Sáhara, resaltó José Manuel García Margallo ( Ex Ministro de Asuntos Exteriores español).
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— Marruecos en Murcia (@CGdeMarruecos) May 26, 2021
Abu Wael Al-Rifi fait remarquer que le Maroc ne prête guère l’oreille aux voix de la droite fasciste qui s'est mobilisée pour défendre la logique coloniale, aveuglé par un chauvinisme éculé.
L’auteur des confessions dominicales prédit que la voix de la raison finira par se faire entendre et que les décisions judiciaires nécessaires seront prises à l’encontre du chef des séparatistes du Polisario, Brahim Ghali, dont l’entrée cachée sur le sol espagnol est à l’origine de la crise maroco-espagnole.