Le Roi Mohammed VI lors du mémorable 28e Sommet des Chefs d'Etat et de gouvernement de l'Union Africaine (UA) tenu le 31 janvier 2017 à Addis Abeba en Ethiopie. Et derrière le Souverain, le Conseiller Royal Fouad Ali El Himma.
Le discours Royal commémorant la Révolution du Roi et du Peuple rompt avec les habitudes. Pour la première fois, il a été réservé presque uniquement aux relations internationales. Le Maroc ayant subi trop d’attaques ces dernières semaines, le Roi Mohammed VI en a expliqué les ressorts. Que l’Algérie refuse la main tendue et préfère la crispation, passe encore. Mais que des alliés stratégiques comme l’Espagne et la France ne comprennent pas que « le Maroc a changé », que nos relations doivent s’approfondir sur la base du respect, l’équilibre et l’égalité, qu’elles soient transparentes et que les intérêts de toutes les parties soient pris en considération, n’est plus admis.
Le Roi a expliqué que le Maroc est une Nation pétrie d’Histoire, qui a réussi à construire des institutions crédibles, chapeautées par une monarchie citoyenne. Un pays fort, d’institutions crédibles, qui respecte ses engagements sur le plan sécuritaire, la défense des droits de l’Homme, ne peut pas accepter, de la part de ses alliés, la moindre atteinte à ses intérêts vitaux, au nom d’un prétendu « équilibre régional », ou, pire, pour satisfaire des groupuscules politiques, internes à ces pays, pour des raisons électorales.
Le chef du gouvernement espagnol et la présidente de la Commission européenne ont tout de suite salué le discours, rappelé le partenariat stratégique avec le Maroc et leur disposition à négocier un renforcement des relations.
Si le Maroc peut se projeter à l’extérieur avec une telle force, c’est parce qu’il a réussi la marche de sa construction démocratique et que l’État, dans le respect du droit et des libertés, est fort, au sens qu’il remplit ses obligations, comme dans la gestion du Covid.
Cela nous le devons à des grands commis de l’Etat, qui ne sont mus que par l’intérêt national et la loyauté au projet Royal.
Ces hommes font preuve d’une abnégation totale, ne prennent pas de vacances, n’ont pas réellement de vie de famille. Ils ne sont pas issus de castes, ni de régions précises. Ils viennent de tout le Maroc, des couches les plus populaires. Le seul critère de l’évolution de leur carrière, c’est la compétence. Ils sont l’honneur et la force de l’État marocain. Ils ont choisi de servir, ils le font bien, et permettent au Maroc de refuser tout diktat.
Le Roi a expliqué que le Maroc est une Nation pétrie d’Histoire, qui a réussi à construire des institutions crédibles, chapeautées par une monarchie citoyenne. Un pays fort, d’institutions crédibles, qui respecte ses engagements sur le plan sécuritaire, la défense des droits de l’Homme, ne peut pas accepter, de la part de ses alliés, la moindre atteinte à ses intérêts vitaux, au nom d’un prétendu « équilibre régional », ou, pire, pour satisfaire des groupuscules politiques, internes à ces pays, pour des raisons électorales.
Le discours est bien clair, le Maroc maintient ses alliances stratégiques, parce qu’il les considère immuables. Mais il veut que les relations soient clairement établies sur un partenariat d’égal à égal.
Le chef du gouvernement espagnol et la présidente de la Commission européenne ont tout de suite salué le discours, rappelé le partenariat stratégique avec le Maroc et leur disposition à négocier un renforcement des relations.
Si le Maroc peut se projeter à l’extérieur avec une telle force, c’est parce qu’il a réussi la marche de sa construction démocratique et que l’État, dans le respect du droit et des libertés, est fort, au sens qu’il remplit ses obligations, comme dans la gestion du Covid.
Cela nous le devons à des grands commis de l’Etat, qui ne sont mus que par l’intérêt national et la loyauté au projet Royal.
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Ces hommes font preuve d’une abnégation totale, ne prennent pas de vacances, n’ont pas réellement de vie de famille. Ils ne sont pas issus de castes, ni de régions précises. Ils viennent de tout le Maroc, des couches les plus populaires. Le seul critère de l’évolution de leur carrière, c’est la compétence. Ils sont l’honneur et la force de l’État marocain. Ils ont choisi de servir, ils le font bien, et permettent au Maroc de refuser tout diktat.
Yassine Mansouri, Directeur Général de la DGED et Abdellatif Hammouchi, Directeur Général de la DGSN et de la DGST.
Ces hommes et ces femmes, sont au Cabinet Royal avec des rayons d’activité différents, le Conseiller Royal Fouad Ali El Himma a joué un rôle très important dans la mise en application de la Constitution. Dans l’appareil sécuritaire , Messieurs Abdellatif Hammouchi et Yassine Mansouri, mais dans tous les départements, de grands commis de l’Etat, avec abnégation et compétence, réussissent à défendre l’efficacité de l’appareil d’Etat.