La Délégation interministérielle aux Droits de l'Homme dénonce la campagne anti-Maroc de HRW
Réagissant au dernier rapport de Human Rights Watch, la Délégation interministérielle aux Droits de l'Homme (DIDH) dénonce la partialité, systématique, de cette organisation à l’encontre du Maroc.

Ahmed Chaouki Benyoub, délégué interministérielle des droits de l'Homme
La Délégation interministérielle aux Droits de l'Homme affirme dans un communiqué, publié ce mercredi 3 août, que HRW a reconfirmé, à travers son dernier rapport, qu’elle mène une campagne ciblant le Royaume et ses institutions.
La délégation relève que les règles de professionnalisme, d’objectivité et d’impartialité ont été piétinées par l’ONG américaine, comme le montrent ses attaques systématiques orientées contre le Maroc, sa justice et ses institutions souveraines.
La DIDH corrobore ces constats en dénonçant «la rhétorique politique extrémiste et diffamatoire» du rapport controversé et en notant que ce document n’a rien à voir avec la défense des Droits de l’homme. Sa conclusion est que la rancœur qu’expriment ses auteurs à l’encontre du Royaume les a poussés à déverser leurs propos haineux en faisant ainsi tomber leurs masques.
La délégation relève que les règles de professionnalisme, d’objectivité et d’impartialité ont été piétinées par l’ONG américaine, comme le montrent ses attaques systématiques orientées contre le Maroc, sa justice et ses institutions souveraines.
Toutes ces organisations se sont indignées aussitôt après la publication du rapport de HRW. Toutes ont condamné les allégations infondées et calomnieuses des auteurs de ce document en relevant que sa seule finalité est de ternir l’image du Maroc. Toutes ont dénoncé le parti pris par ces auteurs qui défendent certaines parties sans prendre compte ni l’avis ni les droits élémentaires des parties adverses.La DIDH reprend les constats établis sur le même sujet par le Conseil national de la presse, l’Association nationale des médias et de la presse, le Syndicat national de la presse marocaine et l’Association marocaine pour les droits des victimes.
La DIDH corrobore ces constats en dénonçant «la rhétorique politique extrémiste et diffamatoire» du rapport controversé et en notant que ce document n’a rien à voir avec la défense des Droits de l’homme. Sa conclusion est que la rancœur qu’expriment ses auteurs à l’encontre du Royaume les a poussés à déverser leurs propos haineux en faisant ainsi tomber leurs masques.