Gaz à effet de serre. La Côte d’Ivoire s’engage à réduire ses émissions
Une mesure qui permettra de lutter contre le réchauffement climatique.
Lilia Habboul
Selon le ministre de l’Environnement et du Développement durable, Jean Luc Assi, ce pays ouest-africaine entend réduire sa production de carbone à 37 millions de tonnes d’ici à 2030 pour lutter contre ce fléau.
«Dans nos nouvelles CDN, la Côte d’Ivoire s’engage à réduire des émissions de gaz à effet de serre de 30,41% d’ici à 2030 par rapport à un scénario de référence. Cet objectif correspond à un abattement chiffré d’environ 37 millions de tonnes équivalent de CO2 », a déclaré Jean Luc Assi.
Pour atteindre cet objectif, des décisions majeures ont été prises en compte au niveau sectoriel, notamment dans les secteurs de la foresterie, l’agriculture, l’énergie et des déchets.
De plus, l’abattement de 37 millions de tonnes de carbone sera rendu possible grâce à la conversion de 3 millions d’hectares de terres en forêt, en lien avec la stratégie de préservation, de réhabilitation et d’extension des forêts, a fait savoir le ministre.
Les CDN de chaque pays doivent être révisés de façon périodique tous les cinq ans, selon les dispositions de l’accord de Paris sur le climat en vue de corriger les insuffisances et de rehausser les ambitions.
«Dans nos nouvelles CDN, la Côte d’Ivoire s’engage à réduire des émissions de gaz à effet de serre de 30,41% d’ici à 2030 par rapport à un scénario de référence. Cet objectif correspond à un abattement chiffré d’environ 37 millions de tonnes équivalent de CO2 », a déclaré Jean Luc Assi.
Pour atteindre cet objectif, des décisions majeures ont été prises en compte au niveau sectoriel, notamment dans les secteurs de la foresterie, l’agriculture, l’énergie et des déchets.
De plus, l’abattement de 37 millions de tonnes de carbone sera rendu possible grâce à la conversion de 3 millions d’hectares de terres en forêt, en lien avec la stratégie de préservation, de réhabilitation et d’extension des forêts, a fait savoir le ministre.
Les CDN de chaque pays doivent être révisés de façon périodique tous les cinq ans, selon les dispositions de l’accord de Paris sur le climat en vue de corriger les insuffisances et de rehausser les ambitions.
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