Paul Packer salue la Vision du Roi Mohammed VI faisant du Maroc un pays stable et sûr
Ancien président de la Commission pour la préservation du patrimoine américain à l’étranger sous Donald J. Trump, Paul Packer est membre dirigeant de Globis Capital Advisors depuis plus de 20 ans. Connaissant bien le Maroc où il a investi dans Forafric, son témoignage a été l’un des moments forts du Global Investment Forum.
Paul Packer répondant aux questions du rédacteur en chef du Jerusalem Post, Yaakov Katz
Entreprise marocaine à dimension panafricaine, Forafric offre un exemple édifiant de l’ouverture du secteur privé marocain sur le monde. Spécialisée dans la transformation du blé, cette entreprise a entamé une nouvelle phase de son développement en ouvrant son capital au fonds d’investissement américain, Globis Capital, à la fin de l’année dernière. Cette première opération effectuée à l’international, en dehors d’Israël, a permis à Forafric de devenir la première société marocaine à être cotée au Nasdaq. La société fournit actuellement ses produits à plus de 45 pays africains.
C’est fort de sa connaissance du Maroc à travers cet investissement inédit que Paul Packer a partagé son expérience du Royaume avec les participants au Global Investment Forum, organisé par Global media Holding les 16 et 17 novembre à Marrakech en partenariat avec le Jerusalem Post.
L’ancien président de la Commission pour la préservation du patrimoine américain a répondu aux questions du rédacteur en chef du Jerusalem Post, Yaakov Katz en ouverture du panel : «Banque, Finance et Fintech. Le Maroc, porte d’entrée de l’Afrique».
Affirmant que le Royaume est la porte d’entrée de l’Afrique, à la fois incontournable et la mieux indiquée, Paul Packer a montré aux investisseurs tout l’intérêt à investir dans le vaste et jeune marché africain.
Soulignant que Casablanca n’est qu’à 6 heures d’avion de New York, l’interviewé a mis également en exergue les compétences dont regorge le Maroc grâce à des universités de classe mondiale comme l’Université Mohammed VI Polytechnique. «C’est un plus pour les investisseurs», a-t-il relevé.
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C’est fort de sa connaissance du Maroc à travers cet investissement inédit que Paul Packer a partagé son expérience du Royaume avec les participants au Global Investment Forum, organisé par Global media Holding les 16 et 17 novembre à Marrakech en partenariat avec le Jerusalem Post.
L’ancien président de la Commission pour la préservation du patrimoine américain a répondu aux questions du rédacteur en chef du Jerusalem Post, Yaakov Katz en ouverture du panel : «Banque, Finance et Fintech. Le Maroc, porte d’entrée de l’Afrique».
Affirmant que le Royaume est la porte d’entrée de l’Afrique, à la fois incontournable et la mieux indiquée, Paul Packer a montré aux investisseurs tout l’intérêt à investir dans le vaste et jeune marché africain.
Soulignant que Casablanca n’est qu’à 6 heures d’avion de New York, l’interviewé a mis également en exergue les compétences dont regorge le Maroc grâce à des universités de classe mondiale comme l’Université Mohammed VI Polytechnique. «C’est un plus pour les investisseurs», a-t-il relevé.
Ce témoignage d’un investisseur averti, grand connaisseur du Maroc qui plus est, a été appuyé par d’autres gros calibres de l’investissement en Israël. C’est le cas notamment de Yossi Abu. Le PDG du Leader israélien du secteur de l’énergie NewMed Energy a déclaré lors de son intervention en parlant du Maroc : «C’est le prochain hub énergétique et l'endroit idéal pour les investisseurs».Concernant le climat d’affaires au Royaume, Packer a clairement déclaré qu’il se sentait mieux en sécurité à Casablanca et à Marrakech qu’il ne l’était à New York en tant qu’investisseur de confession juive. Cette atmosphère accueillante qui caractérise le Maroc «existait bien avant les Accords d’Abraham grâce à Sa majesté le Roi Mohammed VI et à sa Vision pour la tolérance, mais pas seulement ! Aussi sa vision pour les droits de l’Homme et les droits de la Femme ici au Maroc».
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