Angola. Produire plus pour importer moins
L’exécutif veut faire passer la production de céréales, dont le blé, le riz et le maïs à 5 millions de tonnes au cours des cinq prochaines années dans le cadre de son Plan national de promotion de la production de grains « PlanaGrao ».
Lilia Habboul
Selon le ministère de l’Economie et de la Planification, cette feuille de route qui prévoit aussi de porter la production de légumineuses en l’occurrence le soja à 1 million de tonnes à terme, nécessitera un investissement de près de 5,7 milliards de dollars à l’horizon 2027.
2,3 milliards de dollars seront notamment dédiés à la rénovation des infrastructures routières pour le désenclavement des zones de production et à l’accroissement de la superficie des cultures ciblées sur 2 millions d’hectares de terres agricoles supplémentaires.
«D’ici 2027, il est prévu que 34 % de cette superficie soit consacrée à la culture du blé, 30 % pour le riz, 20 % pour le soja tandis que le reste sera réservé à la production de maïs», précise le ministère.
Par ailleurs, cette enveloppe sera également utilisée pour les institutions financières dont la Banque de développement de l’Angola (BDA), le Fonds actif de capital-risque angolais (FACRA) et des banques commerciales.
Objectif : améliorer l’accès des opérateurs locaux du secteur privé au crédit avec des taux d’intérêt plus attractifs.
2,3 milliards de dollars seront notamment dédiés à la rénovation des infrastructures routières pour le désenclavement des zones de production et à l’accroissement de la superficie des cultures ciblées sur 2 millions d’hectares de terres agricoles supplémentaires.
«D’ici 2027, il est prévu que 34 % de cette superficie soit consacrée à la culture du blé, 30 % pour le riz, 20 % pour le soja tandis que le reste sera réservé à la production de maïs», précise le ministère.
Par ailleurs, cette enveloppe sera également utilisée pour les institutions financières dont la Banque de développement de l’Angola (BDA), le Fonds actif de capital-risque angolais (FACRA) et des banques commerciales.
Objectif : améliorer l’accès des opérateurs locaux du secteur privé au crédit avec des taux d’intérêt plus attractifs.
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