Société
La DIDH recadre Amnesty international
La Délégation Interministérielle aux Droits de l'Homme (DIDH) déconstruit le dernier rapport d’Amnesty International sur les incidents de Sebta et Melilla du 24 juin dernier pour bien montrer la partialité qui le caractérise.
Ahmed Chaouki Benyoub, Délégué Interministériel aux Droits de l’Homme (DIDH)
Pour la DIDH, le rapport d’Amnesty International est, encore une fois, partial puisque ne se basant que sur des sources à sens unique. Cette unilatéralité vide ce document de toute crédibilité, souligne cette Direction. Laquelle relève aussi l’absence de preuves et donc d’objectivité, "contrairement aux usages préconisés dans le travail sur les questions des droits de l’Homme".
La DIDH s’étonne de voir Amnesty International baser ses allégations sur les assertions de trois associations connues, pour l’une, pour ses positions politiques radicales et pour l’autre pour son inimitié à l’encontre de l’intégrité territoriale du Royaume et la troisième manque de crédibilité puisque son témoignage ne résulte d’aucune enquête de terrain. En basant sur de telles sources, Amnesty International manque de professionnalisme, note la DIDH.
La même source déconstruit en 7 points le rapport de l’ONG internationale.
La DIDH s’étonne de voir Amnesty International baser ses allégations sur les assertions de trois associations connues, pour l’une, pour ses positions politiques radicales et pour l’autre pour son inimitié à l’encontre de l’intégrité territoriale du Royaume et la troisième manque de crédibilité puisque son témoignage ne résulte d’aucune enquête de terrain. En basant sur de telles sources, Amnesty International manque de professionnalisme, note la DIDH.
La même source déconstruit en 7 points le rapport de l’ONG internationale.
- La réponse émise des autorités marocaines publiées le 12 septembre dernier a été étrangement occultée.
- Le rapport a été élaboré suite à une visite de 5 jours effectuée par Amnesty International à Melilla ne lui ayant pas permis de procéder aux vérifications nécessaires. D’où le recours aux sources précitées.
- L’exagération du nombre de victime est flagrante dans le rapport.
- L’ONG prétend avoir eu des entretiens avec de prétendues victimes sans que rien n’indique qu’elles le sont réellement.
- N’étant pas basé sur un travail de terrain, le rapport verse dans l'approximation concernant le nombre de décès.
- Le document se vide de tout sens quand il évoque de prétendus «disparus forcés».
- La mise en doute de la part d’Amnesty International de la véracité des conclusions du CNDH du 13 juillet dernier porte gratuitement préjudice à une institution nationale connue par sa crédibilité et son objectivité.
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