Alerte. Macron arme l’Algérie contre le Maroc
La France de Macron entame un nouvel épisode dans sa guerre sournoise contre le Maroc. En recevant le chef d’état-major algérien, en secret dans la capitale française, l’Élysée confirme les intentions de l’axe Paris-Alger.
Macron courtise Tebboune
Emmanuel Macron est-il conscient de ce qu’il fait ? Tout esprit ayant un minimum de connaissance en géostratégie ne peut s’empêcher de poser cette question, tant le nouveau pas que vient de franchir le président français contre le Maroc est périlleux.
Sous la houlette de celui que ses concitoyens ont surnommé Jupiter dès son arrivée au pouvoir, les autorités françaises ont reçu, en catimini, le symbole du régime répressif algérien, Saïd Chengriha. Ce dernier ne s’est pas efforcé de se rendre en France, malgré son âge très avancé et ses divers problèmes de santé, pour visiter la Tour Eiffel ou le château de Versailles ni pour consulter ses médecins français, mais approvisionner son armée impopulaire d’encore plus d’armes, le fournisseur russe ayant été trop sollicité.
Ce déplacement de travail dans l’Hexagone, le premier du genre d’un chef d’état-major algérien depuis 17 ans, intervient à quelques jours seulement du vote au parlement européen d’une résolution contre le Maroc, sous la houlette de députés relevant principalement du parti de Macron. La coïncidence n’est pas fortuite. Certains observateurs y voient une précipitation, maladroite, de la part de la présidence française qui chercherait à se faire payer au plus vite pour le grand service rendu au régime algérien au sein de l’institution législative européenne contre le Royaume. Ceux qui connaissent les arcanes du palais Al Mouradia savent que son trésor paie généreusement quiconque s’en prend au Maroc.
Dans un silence assourdissant de la part des médias français qui sont, en principe, bien informés, Chengriha est arrivé à Paris en ayant sous le bras de juteux contrats. Les pétrodollars algériens valent donc bien une mise en sourdine.
Le mur de silence que cherche à construire Macron autour de l’axe Paris-Alger sera bientôt brisé par les sages, et ils sont nombreux en France, pour secouer leur président dont l’égocentrisme pathologique est connu de tous. D’ailleurs, n’est-ce pas l’aveuglement de «Jupiter» qui a fait propager le sentiment anti-français en Afrique ?
En tournant les armes françaises contre le Maroc, sait-il qu’il les tourne en même temps contre ses concitoyens vivant dans le Royaume, pays qui abrite la plus forte communauté d’émigrés français en Afrique dont le nombre a dépassé les 50.000 en 2020 ?
Ce front commun France-Algérie créé par Macron est inédit dans l’Histoire du pays de De Gaulle. Depuis la fin de la IVe République, et même quand les crises entre Rabat et Paris atteignaient leur paroxysme, jamais les armes n’étaient entrées en jeu. Maintenant que c’est fait, l’heure est plus grave que jamais.
Paradoxalement, la nouvelle «Macronerie» en faveur de l’Algérie, qui est le plus gros bailleurs de fonds de Poutine dans sa guerre contre l’Ukraine, intervient à un moment où les grandes puissances dont l’Allemagne commencent à armer l’Ukraine contre la Russie. Comme quoi un pyromane en cache un autre. Ce n’est pas sans raison que les Allemands sont agacés par les gesticulations de Jupiter.
Sous la houlette de celui que ses concitoyens ont surnommé Jupiter dès son arrivée au pouvoir, les autorités françaises ont reçu, en catimini, le symbole du régime répressif algérien, Saïd Chengriha. Ce dernier ne s’est pas efforcé de se rendre en France, malgré son âge très avancé et ses divers problèmes de santé, pour visiter la Tour Eiffel ou le château de Versailles ni pour consulter ses médecins français, mais approvisionner son armée impopulaire d’encore plus d’armes, le fournisseur russe ayant été trop sollicité.
Ce déplacement de travail dans l’Hexagone, le premier du genre d’un chef d’état-major algérien depuis 17 ans, intervient à quelques jours seulement du vote au parlement européen d’une résolution contre le Maroc, sous la houlette de députés relevant principalement du parti de Macron. La coïncidence n’est pas fortuite. Certains observateurs y voient une précipitation, maladroite, de la part de la présidence française qui chercherait à se faire payer au plus vite pour le grand service rendu au régime algérien au sein de l’institution législative européenne contre le Royaume. Ceux qui connaissent les arcanes du palais Al Mouradia savent que son trésor paie généreusement quiconque s’en prend au Maroc.
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Le mur de silence que cherche à construire Macron autour de l’axe Paris-Alger sera bientôt brisé par les sages, et ils sont nombreux en France, pour secouer leur président dont l’égocentrisme pathologique est connu de tous. D’ailleurs, n’est-ce pas l’aveuglement de «Jupiter» qui a fait propager le sentiment anti-français en Afrique ?
En tournant les armes françaises contre le Maroc, sait-il qu’il les tourne en même temps contre ses concitoyens vivant dans le Royaume, pays qui abrite la plus forte communauté d’émigrés français en Afrique dont le nombre a dépassé les 50.000 en 2020 ?
Ce front commun France-Algérie créé par Macron est inédit dans l’Histoire du pays de De Gaulle. Depuis la fin de la IVe République, et même quand les crises entre Rabat et Paris atteignaient leur paroxysme, jamais les armes n’étaient entrées en jeu. Maintenant que c’est fait, l’heure est plus grave que jamais.
Paradoxalement, la nouvelle «Macronerie» en faveur de l’Algérie, qui est le plus gros bailleurs de fonds de Poutine dans sa guerre contre l’Ukraine, intervient à un moment où les grandes puissances dont l’Allemagne commencent à armer l’Ukraine contre la Russie. Comme quoi un pyromane en cache un autre. Ce n’est pas sans raison que les Allemands sont agacés par les gesticulations de Jupiter.
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