Confessions dominicales. Les dessous de l’acharnement contre le Maroc sous pression de «la France macronienne»
Nouvelles perspectives dans les relations maroco-espagnoles après les retrouvailles à Rabat, échec des manœuvres françaises contre le Maroc au sein du parlement européen et silence assourdissant sur les dossiers cachés de l’affaire de corruption au sein de cette institution quasi inutile. Ce sont autant de volets qu’aborde le célèbre chroniqueur Abou Wael Al Rifi dans ses confessions dominicales du 5 février dont voici la quintessence.

La France de Macron s’enfonce encore plus en cherchant, par tous les moyens, à faire pression sur le Maroc avec un esprit néocolonialiste qui n’a plus raison d’être. Ce faisant, cette France-ci essaie de détourner l’attention sur ses problèmes intérieurs nombreux provoquant la colère générale des Français, sur son humiliation partout en Afrique où son ingérence est rejetée, et sur sa perte de toute influence même en Europe où le dossier ukrainien est géré sans le moindre avis de son président plus gesticulateur qu’acteur.
Dans cet esprit machiavélique, la France macroniennes s’est elle-même dénoncée lors du vote contre le Maroc auquel ont poussé, en coulisses, des eurodéputés relevant du parti de Macro qui ne marche plus.
Plus récemment encore, la main du marionnettiste de cet État profond français était trop visible dans les accusations de corruption ciblant, injustement, le Maroc, (là encore) au sein du parlement européen, devenu un organe de pression pour certaines sphères, et qui se cherche, désespérément, une raison d’être après l’avoir perdu notamment avec le Brexit qu’il n’a pu empêcher. Or, les accusés dans ce dossier sont connus et les perquisitions judiciaires dont ils avaient fait l’objet ont permis aux investigateurs de mettre la main sur des pièces à conviction devant mener directement vers les corrupteurs présumés. Ceux-ci n’ont rien à voir, ni de près ni de loin, avec le Maroc et la justice belge et les parlementaires européens proches de ce dossier le savent puisqu’il est notamment question de gros chèques qui seraient émis par le croissant rouge émirati, selon les fuites choisies distillés à certains médias.
Pourquoi donc, la France macronienne s’obstine-telle à dévoyer ses relais médiatique domestiques en les orientant vers le Maroc ? Chercherait-elle à couvrir ainsi certains de ses principaux bailleurs de fonds au Moyen Orient ?
Que la porte-parole du gouvernement française verse dans le déni en osant affirmer qu’il n’y a aucune crise entre le Maroc et la France ne veut en aucun cas dire qu’il n’y a pas de problèmes entre les deux pays. Au contraire. Outre l’acharnement, non avoué contre le Maroc, comment expliquer les blocages systématiques des visas pour les Marocains qui en sont demandeurs ? Pourquoi certains médias français ciblent le Maroc en particulier ? Pourquoi le groupe macronien d’eurodéputés multiplie les actes d’hostilité contre le Royaume pour tenter de l’affaiblir ?
La France fera mieux de préserver les valeurs de la République au lieu de les sacrifier sous prétexte de vouloir assurer la souveraineté énergétique aux Français. Elle fera mieux de cherche d’autres voies que la solution de facilité qu’offrent les caporaux algériens en échange du silence français sur leurs crimes, ce qui qui ruine l’image de la France.
Pendant que la passéiste France de Macron fait du Royaume son obsession, pour de mauvaises raisons, l’Espagne consolide ses relations avec son voisin africain immédiat. Les deux Royaumes travaillent dans un esprit partenarial constructif en fixant le regard vers l’avenir. Le succès de Réunion de haut niveau Maroc-Espagne tenu, il y a quelques jours, à Rabat, qui a été renforcé par l’important entretien téléphonique du Roi Mohammed Vi avec le Président du gouvernement espagnol et l’invitation lancée par le Souverain à Pedro Sanchez pour une nouvelle visite officielle au Maroc, a confirmé cet état d’esprit qui dérange tant la France de Macron, les milices séparatistes et leurs soutiens ainsi que quelques médias et ONG étrangères ayant fait du Maroc, sans raison apparente, leur ennemi juré.
C’était étonnant de voir certaines ONG pousser leur impartialité concernant certaines affaires pénales ayant été instruites par la justice marocaine jusqu’à pousser Josep Borrell en sa qualité de Haut représentant de l'Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité pour qu’il fasse pression sur le Maroc en vue de faire pencher la balance en faveur de certains justiciables contre d’autres. Pourquoi ces ONG s’autorisent-elles à pousser vers une ingérence qu’elles savent inacceptable et n’en font pas de même quand il s’agit de dossiers compromettant pour des pays européens ?
Le train des avancées marocaines poursuivra son parcours avec assurance, sous la conduite sage et sereine du Roi Mohammed VI. Les coups que tentent, en vain, de porter à ce train les comploteurs ne pourront jamais ralentir sa cadence accélérée vers le progrès.
Dans cet esprit machiavélique, la France macroniennes s’est elle-même dénoncée lors du vote contre le Maroc auquel ont poussé, en coulisses, des eurodéputés relevant du parti de Macro qui ne marche plus.
Plus récemment encore, la main du marionnettiste de cet État profond français était trop visible dans les accusations de corruption ciblant, injustement, le Maroc, (là encore) au sein du parlement européen, devenu un organe de pression pour certaines sphères, et qui se cherche, désespérément, une raison d’être après l’avoir perdu notamment avec le Brexit qu’il n’a pu empêcher. Or, les accusés dans ce dossier sont connus et les perquisitions judiciaires dont ils avaient fait l’objet ont permis aux investigateurs de mettre la main sur des pièces à conviction devant mener directement vers les corrupteurs présumés. Ceux-ci n’ont rien à voir, ni de près ni de loin, avec le Maroc et la justice belge et les parlementaires européens proches de ce dossier le savent puisqu’il est notamment question de gros chèques qui seraient émis par le croissant rouge émirati, selon les fuites choisies distillés à certains médias.
Pourquoi donc, la France macronienne s’obstine-telle à dévoyer ses relais médiatique domestiques en les orientant vers le Maroc ? Chercherait-elle à couvrir ainsi certains de ses principaux bailleurs de fonds au Moyen Orient ?
Que la porte-parole du gouvernement française verse dans le déni en osant affirmer qu’il n’y a aucune crise entre le Maroc et la France ne veut en aucun cas dire qu’il n’y a pas de problèmes entre les deux pays. Au contraire. Outre l’acharnement, non avoué contre le Maroc, comment expliquer les blocages systématiques des visas pour les Marocains qui en sont demandeurs ? Pourquoi certains médias français ciblent le Maroc en particulier ? Pourquoi le groupe macronien d’eurodéputés multiplie les actes d’hostilité contre le Royaume pour tenter de l’affaiblir ?
La France fera mieux de préserver les valeurs de la République au lieu de les sacrifier sous prétexte de vouloir assurer la souveraineté énergétique aux Français. Elle fera mieux de cherche d’autres voies que la solution de facilité qu’offrent les caporaux algériens en échange du silence français sur leurs crimes, ce qui qui ruine l’image de la France.
Pendant que la passéiste France de Macron fait du Royaume son obsession, pour de mauvaises raisons, l’Espagne consolide ses relations avec son voisin africain immédiat. Les deux Royaumes travaillent dans un esprit partenarial constructif en fixant le regard vers l’avenir. Le succès de Réunion de haut niveau Maroc-Espagne tenu, il y a quelques jours, à Rabat, qui a été renforcé par l’important entretien téléphonique du Roi Mohammed Vi avec le Président du gouvernement espagnol et l’invitation lancée par le Souverain à Pedro Sanchez pour une nouvelle visite officielle au Maroc, a confirmé cet état d’esprit qui dérange tant la France de Macron, les milices séparatistes et leurs soutiens ainsi que quelques médias et ONG étrangères ayant fait du Maroc, sans raison apparente, leur ennemi juré.
C’était étonnant de voir certaines ONG pousser leur impartialité concernant certaines affaires pénales ayant été instruites par la justice marocaine jusqu’à pousser Josep Borrell en sa qualité de Haut représentant de l'Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité pour qu’il fasse pression sur le Maroc en vue de faire pencher la balance en faveur de certains justiciables contre d’autres. Pourquoi ces ONG s’autorisent-elles à pousser vers une ingérence qu’elles savent inacceptable et n’en font pas de même quand il s’agit de dossiers compromettant pour des pays européens ?
Le train des avancées marocaines poursuivra son parcours avec assurance, sous la conduite sage et sereine du Roi Mohammed VI. Les coups que tentent, en vain, de porter à ce train les comploteurs ne pourront jamais ralentir sa cadence accélérée vers le progrès.