Paris: Une mère aurait vendu sa fille contre 90.000 euros
Une mère de famille est suspectée d’avoir vendu sa fille à un septuagénaire pour la somme de 90.000 euros. Détails de cette affaire sordide.
Hayat Kamal Idrissi
La victime n'est autre que la propre fille de ces "trafiquants" d'êtres humains
Une triste affaire de traite d’êtres humains dont la victime est la propre fille de l’accusée. Agée de 27 ans, la mère, d’origine roumaine, a été arrêtée et placée en détention, le 19 février. Elle est soupçonnée d'avoir vendu sa fille pour la somme de 90.000 euros à un « ami de la famille » âgé de 70 ans. A peine 12 ans, l’adolescente a été « cédée » à son bourreau et livrée à ses attouchements sexuels « avec le consentement de ses parents » rapporte cnews.fr. Accusé de traite d’êtres humains, l’homme a été arrêté et poursuivi pour agression et atteinte sexuelle sur mineur.
Le pot aux roses est découvert le 19 février, dans une salle de cinéma parisienne ; lorsque des employés remarquent les agissements louches du septuagénaire vis-à-vis de la fillette. Les caresses insistantes et les baisers sur la bouche ont fini par mettre la puce à l’oreille des employés. Alarmés, ces derniers essaient d’alerter sa mère qui se tenait juste à côté mais ils ont été surpris par sa réaction. « C’est un ami », répond alors la mère avec flegme. Elle leur assure que son père, présent sur place, est également d’accord.
Sous les yeux des parents
Constatant que l’homme continue d’abuser de l’enfant sous les yeux de ses parents, les employés de la salle de cinéma vont alerter la police. En voyant les policiers débarquer, le père prend la fuite en compagnie de sa fille, tandis que la mère et le vieil homme sont arrêtés et confiés à la Brigade de protection des mineurs (BPM).
D’après le Parisien, l’accusé a reconnu les faits mais a nié toutefois « toute connotation sexuelle » de ses gestes envers la fillette qu’il, affirme-t-il, « considère comme sa propre enfant ». La police découvrira par la suite que le retraité versait régulièrement d’importantes sommes d’argent aux parents en contre partie de ces « moments » avec la fillette. Il est poursuivi pour atteinte sexuelle sur mineur et traite d’être humain commise à l’égard d’un mineur. Cette même charge pèse sur la mère actuellement en détention.
Le pot aux roses est découvert le 19 février, dans une salle de cinéma parisienne ; lorsque des employés remarquent les agissements louches du septuagénaire vis-à-vis de la fillette. Les caresses insistantes et les baisers sur la bouche ont fini par mettre la puce à l’oreille des employés. Alarmés, ces derniers essaient d’alerter sa mère qui se tenait juste à côté mais ils ont été surpris par sa réaction. « C’est un ami », répond alors la mère avec flegme. Elle leur assure que son père, présent sur place, est également d’accord.
Sous les yeux des parents
Constatant que l’homme continue d’abuser de l’enfant sous les yeux de ses parents, les employés de la salle de cinéma vont alerter la police. En voyant les policiers débarquer, le père prend la fuite en compagnie de sa fille, tandis que la mère et le vieil homme sont arrêtés et confiés à la Brigade de protection des mineurs (BPM).
D’après le Parisien, l’accusé a reconnu les faits mais a nié toutefois « toute connotation sexuelle » de ses gestes envers la fillette qu’il, affirme-t-il, « considère comme sa propre enfant ». La police découvrira par la suite que le retraité versait régulièrement d’importantes sommes d’argent aux parents en contre partie de ces « moments » avec la fillette. Il est poursuivi pour atteinte sexuelle sur mineur et traite d’être humain commise à l’égard d’un mineur. Cette même charge pèse sur la mère actuellement en détention.
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