Faudel : « J’aime le Maroc, que ça vous plaise ou non »
Impliqué dans une controverse après une interview sur la radio marocaine Aswat, le chanteur de raï Faudel a répondu à ses détracteurs algériens en publiant une vidéo sur les réseaux sociaux pour clarifier sa position.
Kawtar Firdaous
Faudel a dû quitter la France lorsque sa carrière a été entachée après son soutien à Nicolas Sarkozy en 2007.
Installé au Maroc depuis quelques temps, Faudel a provoqué la colère de certains de ses compatriotes algériens après les récentes déclarations qu’il a tenues sur la radio marocaine Aswat.
Au cours de l’interview, un journaliste lui a demandé ce qu’il dirait au président algérien s’il avait trois à cinq minutes avec lui. Le chanteur a répondu qu’il « l’inviterait à boire un verre de thé au Maroc et qu’il le conduirait en moto ». Des mots qui n’ont pas été du goût de tout le monde en Algérie, certains internautes l’ont même traité de « traître » et ont appelé à boycotter sa musique. Ses détracteurs lui reprochent de tourner le dos à son pays d’origine et de vendre son âme au Maroc.
Faudel a tenu à mettre les points sur les « i » en publiant une vidéo sur les réseaux sociaux où il déclaré « qu’il était d’origine algérienne, mais qu’il était un citoyen du monde et qu’il aimait le Maroc, où sa femme et ses enfants vivaient ».
« Je suis Marocain de cœur »
Le chanteur de raï a précisé qu’il n’avait pas insulté le président algérien et qu’il avait simplement proposé « une invitation cordiale à boire un verre de thé au Royaume du Maroc ». Il a aussi tenu à exprimer son respect pour tous, « quelle que soit leur nationalité ou leur opinion politique ». Il a demandé à ses fans de comprendre qu’il n’était pas contre l’Algérie, mais qu’il avait le droit de s’exprimer librement et d’aimer le Royaume du Maroc.
L’artiste a déclaré par la même occasion que la controverse avait pris une ampleur démesurée et qu’il espérait que « les gens pourraient respecter son droit d’exprimer sa propre opinion et son amour pour le Royaume du Maroc, sans que cela ne soit interprété comme une insulte à l’égard de l’Algérie ».
Naturalisé marocain depuis 2011, le chanteur franco-algérien a toujours affectionné le Royaume du Maroc où il passait souvent ses vacances. Il n’a jamais manqué d’exprimer sa grande admiration pour le roi Mohammed VI lors de leur rencontre, lui disant : « ici, vous êtes chez vous, bienvenue dans votre pays ».
Depuis sa naturalisation, Faudel se considère plus marocain qu’autre chose, « que cela plaise ou non ».
Au cours de l’interview, un journaliste lui a demandé ce qu’il dirait au président algérien s’il avait trois à cinq minutes avec lui. Le chanteur a répondu qu’il « l’inviterait à boire un verre de thé au Maroc et qu’il le conduirait en moto ». Des mots qui n’ont pas été du goût de tout le monde en Algérie, certains internautes l’ont même traité de « traître » et ont appelé à boycotter sa musique. Ses détracteurs lui reprochent de tourner le dos à son pays d’origine et de vendre son âme au Maroc.
Faudel a tenu à mettre les points sur les « i » en publiant une vidéo sur les réseaux sociaux où il déclaré « qu’il était d’origine algérienne, mais qu’il était un citoyen du monde et qu’il aimait le Maroc, où sa femme et ses enfants vivaient ».
« Je suis Marocain de cœur »
Le chanteur de raï a précisé qu’il n’avait pas insulté le président algérien et qu’il avait simplement proposé « une invitation cordiale à boire un verre de thé au Royaume du Maroc ». Il a aussi tenu à exprimer son respect pour tous, « quelle que soit leur nationalité ou leur opinion politique ». Il a demandé à ses fans de comprendre qu’il n’était pas contre l’Algérie, mais qu’il avait le droit de s’exprimer librement et d’aimer le Royaume du Maroc.
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Naturalisé marocain depuis 2011, le chanteur franco-algérien a toujours affectionné le Royaume du Maroc où il passait souvent ses vacances. Il n’a jamais manqué d’exprimer sa grande admiration pour le roi Mohammed VI lors de leur rencontre, lui disant : « ici, vous êtes chez vous, bienvenue dans votre pays ».
Depuis sa naturalisation, Faudel se considère plus marocain qu’autre chose, « que cela plaise ou non ».