Ghana. L'économie montre des signes de reprise
Au deuxième trimestre 2024, l'économie ghanéenne a progressé de 6,9% sur un an, soit le taux le plus élevé depuis cinq ans, stimulée par l'expansion de plusieurs secteurs clés, a annoncé l'agence statistique du pays.
Lilia Habboul
Accra, Ghana
Cette croissance représente une reprise significative pour le Ghana qui est aux prises avec sa pire crise économique depuis une génération en raison de la montée en flèche de la dette publique.
«Le taux de croissance de 6,9 % est le plus élevé depuis le deuxième trimestre de 2019 et il est dû en grande partie à une forte expansion du secteur extractif, tout comme nous l'avons vu au deuxième trimestre de 2019 », a déclaré le statisticien du gouvernement Samuel Kobina Annim.
Le secteur industriel global du Ghana a progressé de 9,3%, porté par l'exploitation minière et les carrières, tandis que le secteur aurifère a progressé pour la troisième période consécutive, de 23,6% au cours du trimestre. Le secteur des services a progressé de 5,8%, tandis que l'agriculture a progressé de 5,4%, a déclaré Samuel Kobina Annim.
Toutefois, le secteur du cacao s'est contracté pour le quatrième trimestre consécutif de 26,2 %. Cette baisse de la production est due aux maladies et aux mauvaises conditions météorologiques.
«Le taux de croissance de 6,9 % est le plus élevé depuis le deuxième trimestre de 2019 et il est dû en grande partie à une forte expansion du secteur extractif, tout comme nous l'avons vu au deuxième trimestre de 2019 », a déclaré le statisticien du gouvernement Samuel Kobina Annim.
Le secteur industriel global du Ghana a progressé de 9,3%, porté par l'exploitation minière et les carrières, tandis que le secteur aurifère a progressé pour la troisième période consécutive, de 23,6% au cours du trimestre. Le secteur des services a progressé de 5,8%, tandis que l'agriculture a progressé de 5,4%, a déclaré Samuel Kobina Annim.
Toutefois, le secteur du cacao s'est contracté pour le quatrième trimestre consécutif de 26,2 %. Cette baisse de la production est due aux maladies et aux mauvaises conditions météorologiques.
