Les agresseurs de la « fille de Tanger » devant le Procureur du Roi
Les quatre mineurs arrêtés dans le cadre de l’affaire de l’agression sexuelle de la « Fille de Tanger » ont été présentés hier devant le Procureur du Roi au Tribunal près la cour d’appel de la ville du détroit.
Hayat Kamal Idrissi
Réclamations de sanctions dissuasives pour les auteurs de cette agression
Les quatre prévenus, soupçonnés d’être impliqués dans l’affaire d’agression sexuelle de la « Fille de Tanger » ont été déférés, mercredi, devant le Procureur du Roi près la Cour d’appel de la ville du Détroit. Agés de 13 à 15 ans, les suspects ont été aussitôt identifiés et arrêtés par la police judiciaire dimanche et lundi.
Ces poursuites judiciaires ont été déclenchées suite au partage massif sur les réseaux sociaux de la vidéo relatant les faits choquants. La semaine dernière, plusieurs individus avaient agressé une jeune femme en plein public en essayant de la dénuder avec attouchements et recours à la violence.
Suscitant colère et indignation, la dite vidéo n’a pas cessé de provoquer les réactions parmi les activistes féministes et ceux des droits humains. Les appels se sont multipliés pour réclamer des sanctions dures et dissuasives contre les auteurs de ces actes criminels. Des associations féministes se sont par ailleurs constituées partie civile dans cette affaire et ont désigné des avocats pour soutenir la jeune femme. Ceci alors que les familles des mineurs arrêtés tentent de convaincre la victime d’abandonner la plainte contre leurs enfants avant le début du procès, comme l’affirment des sources locales.
Ces poursuites judiciaires ont été déclenchées suite au partage massif sur les réseaux sociaux de la vidéo relatant les faits choquants. La semaine dernière, plusieurs individus avaient agressé une jeune femme en plein public en essayant de la dénuder avec attouchements et recours à la violence.
Suscitant colère et indignation, la dite vidéo n’a pas cessé de provoquer les réactions parmi les activistes féministes et ceux des droits humains. Les appels se sont multipliés pour réclamer des sanctions dures et dissuasives contre les auteurs de ces actes criminels. Des associations féministes se sont par ailleurs constituées partie civile dans cette affaire et ont désigné des avocats pour soutenir la jeune femme. Ceci alors que les familles des mineurs arrêtés tentent de convaincre la victime d’abandonner la plainte contre leurs enfants avant le début du procès, comme l’affirment des sources locales.