Vidéo. Le nouveau défi de la Bourse de Casablanca sous la présidence de Brahim Benjelloun Touimi
La Bourse de Casablanca, dont le Conseil d'administration est présidé désormais par Brahim Benjelloun Touimi, a organisé en collaboration avec la World Federation of Exchanges (WFE) un symposium dédié au lancement imminent du Marché à Terme. L'objectif est de préparer cette étape clé en exposant les rôles, les enjeux et les avantages de cette nouvelle initiative.
Mounia Kabiri Kettani
Brahim Benjelloun Touimi, président du conseil d'administration de la Bourse de Casablanca.
Présidé par Brahim Benjelloun Touimi, nouveau président du conseil d'administration de la Bourse de Casablanca, cet événement a mis l’accent sur la coopération entre tous les acteurs de l’écosystème financier marocain. L'occasion pour Benjelloun Touimi de souligner l’importance stratégique de ce projet pour l’avenir des marchés de capitaux au Maroc.
Le symposium a réuni les principaux acteurs financiers nationaux et internationaux, et a été marqué par la présence de Nandini Sukumar, directrice générale de la WFE, Nezha Hayat, présidente de l’autorité marocaine du marché des capitaux (AMMC), ainsi qu'Abderrahim Chaffai, président de l’autorité de contrôle des assurances et de la prévoyance Sociale (ACAPS). Tous ont exprimé leur soutien pour le projet, saluant le potentiel du marché à terme pour la place financière de Casablanca.
Un tournant décisif pour la Bourse de Casablanca
Ce symposium ne s'est pas limité à une simple présentation des rôles et des enjeux du Marché à Terme, mais a constitué une étape clé vers des actions concrètes en vue de renforcer les infrastructures des marchés de capitaux au Maroc. « Nous vivons un moment décisif de notre histoire », a déclaré Brahim Benjelloun Touimi. « Ce marché à terme, avec ses instruments dérivés, jouera un rôle central dans la diversification des portefeuilles et la solidification de la stabilité de notre marché financier », a-t-il ajouté.
L’initiative vise également à offrir de nouvelles opportunités pour les investisseurs locaux et internationaux, en introduisant des outils de gestion du risque, essentiels pour se protéger contre les fluctuations imprévisibles des marchés.
Ce symposium a également permis de réaffirmer les ambitions du Maroc en matière de développement économique et d’infrastructures financières. « Le soutien unanime exprimé par l'ensemble des membres du conseil est essentiel pour franchir les étapes cruciales de ce projet », a précisé Brahim Benjelloun, insistant sur le fait que le marché à terme ne représente pas seulement une initiative de la Bourse, mais un projet collectif soutenu par des institutions majeures.
Un modèle pour l’Afrique
Le marché à terme, qui permettra la cotation de nouveaux instruments financiers, constitue une avancée majeure pour le développement des mécanismes de couverture des risques financiers et la diversification des portefeuilles des investisseurs marocains. Brahim Benjelloun a souligné l'importance stratégique de ces nouveaux outils pour le pays. « Nous allons accélérer la mise en œuvre des réformes des infrastructures des marchés de capitaux, et cela se traduira par des performances renforcées et une plus grande diversité de produits », a-t-il affirmé avec assurance.
Pour lui, ce projet dépasse les frontières de la Bourse de Casablanca. Il incarne une ambition plus vaste : celle de positionner le Maroc comme un modèle pour les marchés financiers africains. « Le Maroc est une véritable chance, surtout avec les projets ambitieux qui se dessinent, malgré les défis conjoncturels. Nous incarnons un modèle qui, j'en suis convaincu, s'inscrit dans une trajectoire de succès », a-t-il affirmé.
Cette vision ambitieuse se concrétise dans les réformes actuelles, qui visent à moderniser rapidement les infrastructures et répondre aux exigences croissantes des acteurs financiers.
Le symposium a également relevé l'importance cruciale de garantir la stabilité et la transparence sur ce marché en pleine construction. « Il y a près de 40 ans, en tant que courtier, j'étais l'un des premiers à opérer sur le marché à terme des instruments financiers », a-t-il rappelé. « Ce que je retiens de cette expérience, c’est que le marché à terme joue un rôle fondamental : celui de verrouiller l'incertitude », a conclu Brahim Benjelloun, mettant en avant l'importance des instruments dérivés pour les entreprises et les investisseurs dans un environnement mondial de plus en plus volatil.
Le symposium a réuni les principaux acteurs financiers nationaux et internationaux, et a été marqué par la présence de Nandini Sukumar, directrice générale de la WFE, Nezha Hayat, présidente de l’autorité marocaine du marché des capitaux (AMMC), ainsi qu'Abderrahim Chaffai, président de l’autorité de contrôle des assurances et de la prévoyance Sociale (ACAPS). Tous ont exprimé leur soutien pour le projet, saluant le potentiel du marché à terme pour la place financière de Casablanca.
Un tournant décisif pour la Bourse de Casablanca
Ce symposium ne s'est pas limité à une simple présentation des rôles et des enjeux du Marché à Terme, mais a constitué une étape clé vers des actions concrètes en vue de renforcer les infrastructures des marchés de capitaux au Maroc. « Nous vivons un moment décisif de notre histoire », a déclaré Brahim Benjelloun Touimi. « Ce marché à terme, avec ses instruments dérivés, jouera un rôle central dans la diversification des portefeuilles et la solidification de la stabilité de notre marché financier », a-t-il ajouté.
L’initiative vise également à offrir de nouvelles opportunités pour les investisseurs locaux et internationaux, en introduisant des outils de gestion du risque, essentiels pour se protéger contre les fluctuations imprévisibles des marchés.
Ce symposium a également permis de réaffirmer les ambitions du Maroc en matière de développement économique et d’infrastructures financières. « Le soutien unanime exprimé par l'ensemble des membres du conseil est essentiel pour franchir les étapes cruciales de ce projet », a précisé Brahim Benjelloun, insistant sur le fait que le marché à terme ne représente pas seulement une initiative de la Bourse, mais un projet collectif soutenu par des institutions majeures.
Un modèle pour l’Afrique
Le marché à terme, qui permettra la cotation de nouveaux instruments financiers, constitue une avancée majeure pour le développement des mécanismes de couverture des risques financiers et la diversification des portefeuilles des investisseurs marocains. Brahim Benjelloun a souligné l'importance stratégique de ces nouveaux outils pour le pays. « Nous allons accélérer la mise en œuvre des réformes des infrastructures des marchés de capitaux, et cela se traduira par des performances renforcées et une plus grande diversité de produits », a-t-il affirmé avec assurance.
Pour lui, ce projet dépasse les frontières de la Bourse de Casablanca. Il incarne une ambition plus vaste : celle de positionner le Maroc comme un modèle pour les marchés financiers africains. « Le Maroc est une véritable chance, surtout avec les projets ambitieux qui se dessinent, malgré les défis conjoncturels. Nous incarnons un modèle qui, j'en suis convaincu, s'inscrit dans une trajectoire de succès », a-t-il affirmé.
Cette vision ambitieuse se concrétise dans les réformes actuelles, qui visent à moderniser rapidement les infrastructures et répondre aux exigences croissantes des acteurs financiers.
Le symposium a également relevé l'importance cruciale de garantir la stabilité et la transparence sur ce marché en pleine construction. « Il y a près de 40 ans, en tant que courtier, j'étais l'un des premiers à opérer sur le marché à terme des instruments financiers », a-t-il rappelé. « Ce que je retiens de cette expérience, c’est que le marché à terme joue un rôle fondamental : celui de verrouiller l'incertitude », a conclu Brahim Benjelloun, mettant en avant l'importance des instruments dérivés pour les entreprises et les investisseurs dans un environnement mondial de plus en plus volatil.