Madagascar. Les recommandations du FMI pour une économie solide
L'économie de Madagascar devrait afficher une croissance stable de 4,2 % en 2024, avec des prévisions d'atteindre 4,6 % en 2025, selon un dernier rapport du Fonds monétaire international (FMI).
Lilia Habboul
Antananarivo, Madagascar
Ce constat fait suite à une mission du FMI dans le pays, soulignant une amélioration notable de l'activité économique, notamment grâce à une récolte abondante de riz et un rebond dans le secteur de l'extraction de graphite.
«L'inflation a atteint 7,8 % en août 2024, principalement due à la hausse des prix de l'énergie et des denrées alimentaires. Toutefois, une baisse à 7,2 % en 2025, avec une tendance à converger vers 6 % à moyen terme, est prévue », a déclaré Frédéric Lambert, chef de mission du FMI.
Pour maintenir cette dynamique de croissance, le Fonds recommande à Madagascar d'adopter des réformes visant à accroître les recettes fiscales. Cela permettrait de financer des investissements publics et sociaux.
L’institution financière recommande également l'amélioration de la gouvernance pour générer une croissance plus élevée et plus inclusive. Elle souligne également l'importance pour le pays de mieux se préparer aux chocs climatiques et de moderniser ses infrastructures afin de soutenir une croissance durable.
«L'inflation a atteint 7,8 % en août 2024, principalement due à la hausse des prix de l'énergie et des denrées alimentaires. Toutefois, une baisse à 7,2 % en 2025, avec une tendance à converger vers 6 % à moyen terme, est prévue », a déclaré Frédéric Lambert, chef de mission du FMI.
Pour maintenir cette dynamique de croissance, le Fonds recommande à Madagascar d'adopter des réformes visant à accroître les recettes fiscales. Cela permettrait de financer des investissements publics et sociaux.
L’institution financière recommande également l'amélioration de la gouvernance pour générer une croissance plus élevée et plus inclusive. Elle souligne également l'importance pour le pays de mieux se préparer aux chocs climatiques et de moderniser ses infrastructures afin de soutenir une croissance durable.