Algérie. Le cancre n’est bon que quand il est généreux
Les médias algériens ne vivent plus que sur les propos diffamatoires conte le Maroc et ses symboles les plus emblématiques. Cela devient une fixation. Mais ces derniers temps, ces médias sont allés trop loin. On hésite à répondre à leur impertinence mais, après tout, on peut leur tirer les oreilles de temps en temps.

Tebboun et Chengriha . Les deux têtes de l’Algérie bicéphale
Question: Que répondre à un ennemi impoli et sans aucune éducation?
Le premier réflexe est de ne rien faire. Mais non, ce n’est qu’un âne. Est-ce qu’on riposte à un âne qui rue?
Toutefois, on se dit qu’après tout c’est une occasion de jouer avec cet âne et lui apprendre les bonnes manières. D’accord, mais si cela marche avec une bête est-ce que ce serait toujours le cas avec des humains sans éducation?
Là c’est un peu plus compliqué. Et nous avons un exemple. La junte militaire algérienne. Le constat est consternant. Ils en arrivent à répandre des calomnies sur le Roi du Maroc. Et ils ne se privent de rien. Pour eux, l’ennemi ce n’est pas le peuple marocain mais le Makhzen, c’est-à-dire en fait le Roi en personne.
C’est pourquoi ils se lâchent sans retenue, sans considération pour le bon voisinage, sur leurs médias publics et prolongent leurs aboiements avec leur armée électronique.
Ils ne savent pas deux choses: Un, le terme Makhzen n’est en aucun cas péjoratif, ça prouve au contraire que le pays à une très grande histoire, ce qui leur manque cruellement. Deux, il n’y a pas d’un côté le Roi et de l’autre le peuple. Ils sont tous les deux dans un même bloc, la nation chérifienne. Puisqu’ils nous lisent assidument, nous leur rappelons cette expression « Un Roi citoyen et un peuple royal ». Je sais que cela leur fait mal. Mais c’est la vérité, on n’a rien inventé.
Ceci étant bien établi, venons-en maintenant à la nature du régime algérien.
Née en 1962, l’Algérie n’a jamais pu se libérer de l’emprise des militaires. La France, qui a abandonné le pays suite à un processus référendaire, a laissé tout de même des signes de civilisation, une langue internationales, une discipline et un ordre civils. Tout s’est évaporé.
Où en est le pays aujourd’hui?
Ce sont les Algériens qui répondent chaque jour en postant des vidéos à faire rougir un buffle: des villes délabrées, des quartiers croulant sous des montages de déchets ménagers, un parc automobile misérable, des files interminables pour acheter du lait, de la farine, de l’huile et...des bonbonnes de gaz. On est pourtant dans un pays gazier et pétrolier qui utilise ces produits comme des armes diplomatiques. Sans succès finalement, on a pu le constater.
Il peut offrir des tonnes de gaz gratuitement à un pays, et pas une bonbonne aux habitants de Tamanrasset, de Bouira ou de Djanet, oui, tout à fait, la ville où une touriste suisse vient d’être égorgée.
Le pays est dévasté et pourtant, dans le projet de budget de 2025, le plus gros des fonds va à l’armée, 25 milliards de dollars! Au même moment, des citoyens se plaignent de ne pas avoir d’hôpital, d’autres de ne pas avoir l’électricité, d’autres encore manquent d'eau.
Certains Algériens disent que la grande erreur des Algériens c’est de s’être détachés de l’ancienne mère-patrie, la France. Au moins, il y aurait plus de civilisation dans ce pays sinistré. Où le président se fait élire à 90% mais où les citoyens ne votent plus. Qui vote pour un président de façade derrière lequel se cachent les généraux de l’époque soviétique?
Le pays est d’ailleurs si mal en point que l’organisation des BRICS a refusé son adhésion à deux reprises. C’est comme le cancre de la classe, tout le monde l’évite sauf à la récréation quand il distribue des bonbons.
Le régime tient pourtant la société algérienne d’une main de fer. Les contestataires iront automatiquement en prison, on ne discute pas. Une ambiance de peur plane sur la pays. Une simple vidéo sur Tik Tok peut valoir à son auteur des années de prison.
A l’heure actuelle, ils sont des centaines derrière les barreaux pour des critiques sur les réseaux sociaux. Ce qui est normal au Maroc est un acte de haute trahison chez la junte militaire. Normal, plus un Etat est fragile, plus il emprisonne. C’est encore pire quand l’Etat n’existe pas.
Comment expliquer cette insolence algérienne officielle qui s’est accentuée ces derniers mois? Justement, ces derniers mois le Maroc a connu d’énormes succès sur la scène internationale. Parce qu’on lui fait confiance et parce qu’il représente un partenaire sérieux et intelligent, on se range de son côté et on lui reconnait sa souveraineté pleine et entière sur tout son territoire.
Parce que, c’est aussi intéressant, dans les forums internationaux les diplomates marocains ridiculisent leurs représentants au vu et su de tout le monde.
Lorsque le Roi Mohammed VI a mis en garde que la question de l’intégrité territoriale est la clé de ses relations internationales, son message a été attentivement écouté.
Juste, une précision, le Maroc et l’Algérie ne sont pas en concurrence contrairement à ce qu’on lit dans les médias. L’Algérie a du gaz et du pétrole et c'est tout ce qui fait l’essentiel de son économie. Le Maroc joue sur un autre registre, les nouvelles technologies, l’aéronautique, l’automobile et sa version électrique, les investissements en Afrique et en Europe. Du hiéroglyphe pour le pouvoir d’Alger.
Enfin, diriger un pays ce n’est pas être dans les médias tout le temps. Ce n’est pas cela la présence. La présence d’un dirigeant on la sent quand on va au marché, quand on se promène en sécurité, quand on dispose d’assez de devises pour voyager, quand on peut dire ce qu’on veut sans être embarqué la nuit vers une destination inconnue. Ou quand on prend le TGV.
Voilà pour ceux qui disent que le Roi est absent. A qui doit-on tous ces succès diplomatiques à votre avis?
Le premier réflexe est de ne rien faire. Mais non, ce n’est qu’un âne. Est-ce qu’on riposte à un âne qui rue?
Toutefois, on se dit qu’après tout c’est une occasion de jouer avec cet âne et lui apprendre les bonnes manières. D’accord, mais si cela marche avec une bête est-ce que ce serait toujours le cas avec des humains sans éducation?
Là c’est un peu plus compliqué. Et nous avons un exemple. La junte militaire algérienne. Le constat est consternant. Ils en arrivent à répandre des calomnies sur le Roi du Maroc. Et ils ne se privent de rien. Pour eux, l’ennemi ce n’est pas le peuple marocain mais le Makhzen, c’est-à-dire en fait le Roi en personne.
C’est pourquoi ils se lâchent sans retenue, sans considération pour le bon voisinage, sur leurs médias publics et prolongent leurs aboiements avec leur armée électronique.
Ils ne savent pas deux choses: Un, le terme Makhzen n’est en aucun cas péjoratif, ça prouve au contraire que le pays à une très grande histoire, ce qui leur manque cruellement. Deux, il n’y a pas d’un côté le Roi et de l’autre le peuple. Ils sont tous les deux dans un même bloc, la nation chérifienne. Puisqu’ils nous lisent assidument, nous leur rappelons cette expression « Un Roi citoyen et un peuple royal ». Je sais que cela leur fait mal. Mais c’est la vérité, on n’a rien inventé.
Ceci étant bien établi, venons-en maintenant à la nature du régime algérien.
Née en 1962, l’Algérie n’a jamais pu se libérer de l’emprise des militaires. La France, qui a abandonné le pays suite à un processus référendaire, a laissé tout de même des signes de civilisation, une langue internationales, une discipline et un ordre civils. Tout s’est évaporé.
Où en est le pays aujourd’hui?
Ce sont les Algériens qui répondent chaque jour en postant des vidéos à faire rougir un buffle: des villes délabrées, des quartiers croulant sous des montages de déchets ménagers, un parc automobile misérable, des files interminables pour acheter du lait, de la farine, de l’huile et...des bonbonnes de gaz. On est pourtant dans un pays gazier et pétrolier qui utilise ces produits comme des armes diplomatiques. Sans succès finalement, on a pu le constater.
Il peut offrir des tonnes de gaz gratuitement à un pays, et pas une bonbonne aux habitants de Tamanrasset, de Bouira ou de Djanet, oui, tout à fait, la ville où une touriste suisse vient d’être égorgée.
Le pays est dévasté et pourtant, dans le projet de budget de 2025, le plus gros des fonds va à l’armée, 25 milliards de dollars! Au même moment, des citoyens se plaignent de ne pas avoir d’hôpital, d’autres de ne pas avoir l’électricité, d’autres encore manquent d'eau.
Certains Algériens disent que la grande erreur des Algériens c’est de s’être détachés de l’ancienne mère-patrie, la France. Au moins, il y aurait plus de civilisation dans ce pays sinistré. Où le président se fait élire à 90% mais où les citoyens ne votent plus. Qui vote pour un président de façade derrière lequel se cachent les généraux de l’époque soviétique?
Le pays est d’ailleurs si mal en point que l’organisation des BRICS a refusé son adhésion à deux reprises. C’est comme le cancre de la classe, tout le monde l’évite sauf à la récréation quand il distribue des bonbons.
Le régime tient pourtant la société algérienne d’une main de fer. Les contestataires iront automatiquement en prison, on ne discute pas. Une ambiance de peur plane sur la pays. Une simple vidéo sur Tik Tok peut valoir à son auteur des années de prison.
A l’heure actuelle, ils sont des centaines derrière les barreaux pour des critiques sur les réseaux sociaux. Ce qui est normal au Maroc est un acte de haute trahison chez la junte militaire. Normal, plus un Etat est fragile, plus il emprisonne. C’est encore pire quand l’Etat n’existe pas.
Comment expliquer cette insolence algérienne officielle qui s’est accentuée ces derniers mois? Justement, ces derniers mois le Maroc a connu d’énormes succès sur la scène internationale. Parce qu’on lui fait confiance et parce qu’il représente un partenaire sérieux et intelligent, on se range de son côté et on lui reconnait sa souveraineté pleine et entière sur tout son territoire.
Parce que, c’est aussi intéressant, dans les forums internationaux les diplomates marocains ridiculisent leurs représentants au vu et su de tout le monde.
Lorsque le Roi Mohammed VI a mis en garde que la question de l’intégrité territoriale est la clé de ses relations internationales, son message a été attentivement écouté.
Juste, une précision, le Maroc et l’Algérie ne sont pas en concurrence contrairement à ce qu’on lit dans les médias. L’Algérie a du gaz et du pétrole et c'est tout ce qui fait l’essentiel de son économie. Le Maroc joue sur un autre registre, les nouvelles technologies, l’aéronautique, l’automobile et sa version électrique, les investissements en Afrique et en Europe. Du hiéroglyphe pour le pouvoir d’Alger.
Enfin, diriger un pays ce n’est pas être dans les médias tout le temps. Ce n’est pas cela la présence. La présence d’un dirigeant on la sent quand on va au marché, quand on se promène en sécurité, quand on dispose d’assez de devises pour voyager, quand on peut dire ce qu’on veut sans être embarqué la nuit vers une destination inconnue. Ou quand on prend le TGV.
Voilà pour ceux qui disent que le Roi est absent. A qui doit-on tous ces succès diplomatiques à votre avis?