Maroc Telecom. Des investissements record dans les filiales africaines
En épluchant les états financiers des filiales africaines de Maroc Telecom, tout analyste objectif ne pourrait être qu’impressionné par les montants injectés par cet opérateur partout où il est implanté à travers l’Afrique.
Exemple de chiffre marquant : rien qu’entre 2006 et 2023, Maroc Telecom a investi plus de 45,4 milliards de dirhams dans ses filiales africaines. Autre indicateur qui interpelle : pas moins de 24,7% du chiffre d’affaires de ces filiales, soit 4,5 milliards de dirhams, a été investi au cours de la seule année 2023.
Ce n’est pas tout. Pour développer la fibre optique au profit de ses filiales, l’opérateur a déboursé 2 milliards de dirhams. Une partie a été réservé au câble terrestre «Transafricain». Long de 5.700 kilomètres, celui-ci part du Maroc et s’étend jusqu’au Niger, en passant par la Mauritanie, le Mali et le Burkina Faso. L’autre partie au câble sous-marin reliant l’Afrique de l’Ouest à l’Europe via le Maroc, sur 9.400 Km.
C’est ce qui permet à tous les pays de présences de Maroc Telecom d’échapper aux aléas que pourraient connaître des connexions internationales mutualisées. C’est ce qui a permis également à divers pays de prendre le train de la connexion à haut débit au bon moment, élément aujourd’hui essentiel pour le développement socio-économique.
MOOV Mauritel se réjouit de la stratégie d’investissement de sa maison-mère dans ce communiqué-témoignage.
«En tant que leader incontesté des télécommunications en Mauritanie, et à travers sa dimension d’organisation citoyenne, MOOV Mauritel continuera à promouvoir l’action humanitaire, culturelle et sociale, en soutenant la création d’emplois, en promouvant le sport et en contribuant à la protection de l’environnement», s’énorgueillit la fililale mauritanienne de l’opérateur historique marocain.
La stratégie globale d’investissement de Maroc Telecom s’avère porteuse. La preuve, le parc de ce Groupe panafricain progresse bon an mal an de plus de 6%, totalisant à fin septembre dernier, 79,7 millions. Et ce sont ses filiales, dont le parc s’accroit annuellement de près de 10% en moyenne, qui continuent à le tirer vers les sommets.
