AMMC. Cap sur la lutte contre le blanchiment de capitaux
L’autorité marocaine du marché des capitaux (AMMC) a organisé, en partenariat avec l’ANRF et la CNASNU, un séminaire de sensibilisation dédié à la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme (LBC/FT).
Mounia Kabiri Kettani
Nezha Hayat, Présidente de l’AMMC et Jawhar Nfissi, Président de l’ANRF.
L’événement, qui s’est tenu au siège de l’AMMC, a rassemblé des représentants clés des sociétés de bourse, sociétés de gestion, teneurs de comptes et conseillers en investissement financier.
Dans son discours d’ouverture, Nezha Hayat, Présidente de l’AMMC, a mis en avant l’importance d’un dispositif solide et adapté face aux risques croissants de blanchiment de capitaux et de financement du terrorisme. Elle a souligné l’implication déterminante des acteurs nationaux, notamment durant l’évaluation récente du dispositif marocain. « La vigilance est essentielle. Il est impératif de s’adapter constamment aux évolutions des menaces et des standards internationaux », a-t-elle affirmé.
Jawhar Nfissi, Président de l’ANRF, a pour sa part insisté sur la nécessité d’une mobilisation collective et permanente. Il a rappelé que le prochain cycle d’évaluation par le GAFIMOAN, prévu pour 2026, portera principalement sur l’efficacité concrète du dispositif national LBC/FT.
Un cadre juridique et des résultats concrets
Au cours de cette rencontre, plusieurs points essentiels ont été mis en avant. L’ANRF a exposé les avancées du cadre juridique marocain en matière de Lutte contre le Blanchiment de Capitaux et le Financement du Terrorisme (LBC/FT), en insistant sur le rôle crucial des déclarations de soupçon dans la détection et la prévention des risques. De son côté, la CNASNU a détaillé les mécanismes d’application des sanctions découlant des Résolutions du Conseil de Sécurité des Nations Unies, tout en mettant en lumière les indicateurs clés permettant d’évaluer la réactivité des acteurs du marché.
Quant à l’AMMC, elle a présenté les résultats de sa cartographie des risques de BC/FT 2024, un document stratégique visant à identifier les niveaux de risque propres à chaque activité financière et à promouvoir les bonnes pratiques pour renforcer les dispositifs de vigilance et de prévention.
L’AMMC a noté que ce sixième séminaire s’inscrit dans la dynamique des actions de formation et de sensibilisation déployées en partenariat avec l’ANRF. À l’approche du 3ᵉ cycle d’évaluation mutuelle par le GAFIMOAN, de nouvelles sessions de formation seront programmées afin de préparer au mieux les acteurs financiers aux exigences internationales.
Dans son discours d’ouverture, Nezha Hayat, Présidente de l’AMMC, a mis en avant l’importance d’un dispositif solide et adapté face aux risques croissants de blanchiment de capitaux et de financement du terrorisme. Elle a souligné l’implication déterminante des acteurs nationaux, notamment durant l’évaluation récente du dispositif marocain. « La vigilance est essentielle. Il est impératif de s’adapter constamment aux évolutions des menaces et des standards internationaux », a-t-elle affirmé.
Jawhar Nfissi, Président de l’ANRF, a pour sa part insisté sur la nécessité d’une mobilisation collective et permanente. Il a rappelé que le prochain cycle d’évaluation par le GAFIMOAN, prévu pour 2026, portera principalement sur l’efficacité concrète du dispositif national LBC/FT.
Un cadre juridique et des résultats concrets
Au cours de cette rencontre, plusieurs points essentiels ont été mis en avant. L’ANRF a exposé les avancées du cadre juridique marocain en matière de Lutte contre le Blanchiment de Capitaux et le Financement du Terrorisme (LBC/FT), en insistant sur le rôle crucial des déclarations de soupçon dans la détection et la prévention des risques. De son côté, la CNASNU a détaillé les mécanismes d’application des sanctions découlant des Résolutions du Conseil de Sécurité des Nations Unies, tout en mettant en lumière les indicateurs clés permettant d’évaluer la réactivité des acteurs du marché.
Quant à l’AMMC, elle a présenté les résultats de sa cartographie des risques de BC/FT 2024, un document stratégique visant à identifier les niveaux de risque propres à chaque activité financière et à promouvoir les bonnes pratiques pour renforcer les dispositifs de vigilance et de prévention.
L’AMMC a noté que ce sixième séminaire s’inscrit dans la dynamique des actions de formation et de sensibilisation déployées en partenariat avec l’ANRF. À l’approche du 3ᵉ cycle d’évaluation mutuelle par le GAFIMOAN, de nouvelles sessions de formation seront programmées afin de préparer au mieux les acteurs financiers aux exigences internationales.